Книги 2021 – 2022
Selected bibliography in the field of Bulgarian Studies published in the current year
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Selected bibliography in the field of Bulgarian Studies published in the current year
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This contribution explores the music performance during the reading of a barely known and insufficiently studied life of the Prophet Muhammad, İpsala'lı Ebu'l-Hayr Mevlidi, better known as Mustafa Mevlidi. That life is used in the Mevlid rituals in the region of Krumovgrad and in some villages near the town of Haskovo. In order to present in fullness the specific local characteristics of the music connected to religious practice in the studied region, the author describes in detail the peculiarities of the music in the cami practice. The main characteristics of the ritual are delineated: its structure, the occasions on which it takes place, and the way of performing it. In the course of analysis of the musical material, which has been recorded in the region of Krumovgrad, the author also adds musical examples from the Mevlid ritual among Sunni Turks from other parts of Bulgaria. The main fieldwork material utilized in the study has been personally collected by the author between 2010 and 2021.
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The article examines and analyses the process of “inventing” Kyustendil Spring Day in the context of socialist festivity. Based on the local tradition of welcoming spring in Kyustendil, which integrates pre-Christian rituals related to the day of spring solstice, the Day of Forty Martyrs of Sebaste in the Orthodox calendar and Mladentsi in the folk calendar, the holiday is gradually “domesticated” by the socialist authorities in the late 1960s, purged of its religious elements and re-invented – engaged with “new, socialist content”. Having combined various festive forms, symbols and rituals and occupying various urban spaces throughout the years, the holiday eventually established itself as a successful “invented tradition” during the socialist period, including several elements: a beauty contest, a ceremony for handing over the symbols of spring, a carnival procession, a public celebration on the Hisarlaka hill above the town, and accompanying cultural and sports events.
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In the post-Ba’athist era, stability and national security remain the two key goals. Iraq has suffered from many extremist terrorist groups on several separate stages from 2003 to 2017. The most threatening terrorist group was ISIS (the Islamic State of Iraq and the Levant), which has enormous impacts on Iraqi society, given the vast geographical areas that it controlled, and the dangers, crimes and violations suffered by the Iraqi people with all its components. The main aim of this study is to determine the impacts of ISIS on Iraqi national security. The study relied on Content Analysis Method to analyze the collected data and achieve its aims. Also, the primary research question is about the impact of ISIS on Iraq’s national security from 2014 to 2017. Correspondingly, an international coalition of more than a hundred countries was formed to stop the rapid expansion of ISIS. The number of victims who lost their lives and were affected at the psychological and humanitarian levels was explained in this study. According to the research results, ISIS was seeking long-term goals. The most important was the preparation for disseminating this new extremist ideology. The intelligence and the exploitation of poverty, ignorance, and political conflicts that ISIS used aimed to implant the extremist mentality in the most significant number of attention.
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Un siècle après la publication des premières recherches sur l’église Sainte-Parascève de Tălmăcel, de nouvelles études permettent de reconstituer l’histoire de la fondation du village transylvain à la fin du xviiie siècle. Elles mettent en évidence la valeur architecturale et le caractère représentatif des composantes artistiques dont l’église du village a été dotée à différents moments historiques; caractéristiques qui ont déterminé le classement de cette église en tant que monument historique. La présente étude se propose de réexaminer les recherches publiées jusqu’à présent et poursuit l’investigation grâce, entre autres, aux apports fournis par la restauration de l’ensemble mural. Les informations inédites identifiées dans les documents, les notes transcrites dans les anciens livres liturgiques des archives paroissiales, permettent d’identifier la signature de l’artiste Ioan de Poplaca, à qui l’on devrait certaines parties de la peinture murale de l’église. Sa contribution, jusqu’ici inconnue, peut être désormais différenciée de celle de l’autre peintre, Panteleimon. La différenciation de leur activité à Tălmăcel permet de mettre en évidence quelques particularités stylistiques propres à chacun de nos deux artistes; caractéristiques qui, par analogie, nous pouvons également identifier dans d’autres de leurs oeuvres. À titre subsidiaire, l’article permet de reconstituer leurs biographies.
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This study identified the icon of Virgin Moscovita and the icon of the Holy Mandylion, described in Konstantinos Dapontes’ writings, with the icon of the Virgin and the icon of the Holy Mandylion preserved in his family monastery Evangelistria in Skopelos island. We can now retrace the “biography” of these two artefacts, the history of their creation, donation, and multiple “transfers” of the two icons. This study is an important contribution to the history of the early modern period in the Balkans. The icon of the Virgin Moscovite was donated to Konstantinos Dapontes by his benefactor Konstantinos Mavrocordatos in 1741 in Iasi, and the the icon of the Holy Mandylion was donated to Dapontes by his “maître spirituel”, the patriarch of Antioch Sylvester in 1762.
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Le musée ‘Trésors spirituels de l’Ukraine’ à Kiev comprend plus de 400 icônes allant du xve au xixe siècles. Dans cette collection, plusieurs exemplaires témoignent d’une série de traits stylistiques indiquant que leur origine pourrait se situer dans la Ruthénie des Carpates, de Pokutia ou de Maramureș. Ces icônes se caractérisent par une forme simplifiée; une palette de couleurs limitée; une composition schématique; des formes stylistiques bien connues aux siècles précédents; un fond doré gravé; et des cadres en bois particulièrement sculptés. Le présent article décrit six de ces icônes : l’icône de la Mère de Dieu sur Trône, peinte par Michail Popovich de Kolomyia, dont les oeuvres se trouvent dans les églises de Budeşti-Josani et de Budeşti-Susani ; l’Annonciation de la fin du xviie siècle, oeuvre du peintre d’icônes de Hǎrnicești à Maramureș et Bǎlan-Josani ; une icône du xviiie siècle, la Descente du Saint-Esprit, peinte dans un style similaire à celui de l’icône de Saint Nicolas de Shelestovo, près de Moukatchevo (aujourd’hui au Musée de l’Architecture et de la Vie Populaires d’Oujhorod) ; et trois icônes – Christ Pantocrator, Théotokos Hodegetria et Archange Michel – provenant du même atelier que les Trois Saints Hiérarques du Musée d’Ethnographie Régionale d’Ivano-Frankivsk.
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Au xviiie siècle, des peintres ukrainiens et serbes formés à l’école d’art de la Laure de Kyïv-Petchersk ont inauguré le processus de changement de la peinture religieuse serbe qui, dans la région administrée par le siège métropolitain de Karlovci, est passée d’un style ‘traditionnel’ (ou ‘manière post-byzantine’) à un style plus ‘occidental’ (‘baroque’). À première vue, il pourrait sembler inhabituel que les influences occidentales décisives pour la peinture serbe du xviiie siècle ne soient pas arrivées directement de l’Occident – à savoir de Vienne, l’un des principaux centres de l’art baroque européen et capitale de l’empire dont le territoire englobait le métropolitain de Karlovci -, mais de l’espace artistique ukrainien, déjà ‘occidentalisé’ par les courants venus de la Laure de Kyïv-Petchersk. Vers le milieu du xviiie siècle, cette Laure de Kyïv-Petchersk et son Académie de théologie étaient devenus des soutiens religieux solides et fiables pour l’Orthodoxie, sous la protection politique du tsar de Russie, et promouvaient la science théologique, peut-être la plus forte de la sphère orthodoxe de l’époque. En conséquence, l’Académie de théologie de Kyïv avait commencé à occuper une place de plus en plus importante dans la topographie chrétienne de l’Europe de l’Est. Cette école accueillait des étudiants de toute l’Ukraine et de la Russie, mais aussi des Biélorusses, des Polonais, des Lituaniens et des Serbes. Au xviiie siècle, sur une période de trente ans, 28 Serbes ont reçu une éducation à l’Académie de théologie de Kyïv. De même, au milieu du xviiie siècle, des missionnaires de Kiev rejoignent la communauté de Karlovci, sur invitation des dignitaires de l’Église serbe, en apportent avec eux une aide spirituelle indispensable. L’arrivée dans la commu-nauté de Karlovci des premiers enseignants, peintres, livres et icônes en provenance de Kiev, est marquée aussi par l’arrivée de certains modèles politiques russes. Dans les rangs des intellectuels, plusieurs peintres serbes ont été formés à Kyïv, dont les principaux représentants de la première vague d’européanisation dans la peinture serbe: Dimitrije Bačević et Stefan Tenecki. Le moment décisif pour l’ouverture de la peinture serbe à la peinture kyïvienne occidentalisée s’est produit grâce à l’initiative du patriarche Arsenije iv Jovanović Šakabenta (1725-1748). En effet, en 1743, ce patriarche avait officiellement interdit, dans une lettre circulaire, le travail de tous les soi-disant peintres d’icônes inexpérimentés et non éduqués qui travaillaient à l’ancienne. C’est à cette époque qu’il avait fait appelé à sa cour l’Ukrainien Jov Vasilijevič (vers 1700-après 1760), un maître qui allait donner une nouvelle forme aux courants de l’art serbe. La lettre mentionnée du patriarche Šakabenta indique que les peintres serbes de Karlovci pouvaient apprendre le métier auprès de son peintre de cour autour duquel, semblerait-il, s’était formé la première école de peinture jamais fondée dans le milieu culturel serbe. À travers cette école, le maître Jov Vasilijevič et ses collaborateurs allaient exercer une influence décisive sur toute la génération des peintres (civiques) serbes – ainsi qu’en témoigne l’abandon de l’ancienne manière. L’in-fluence culturelle et artistique ukrainienne dans le siège métropolitain de Karlovci a perduré des années 1720 aux années 1760. Durant cette période, tous les éléments occidentaux ont, sans doute, dû être soumis à la super-vision des théologiens orthodoxes orientaux de Kyïv. Dans la seconde moitié du xviiie siècle, plus précisément à partir de la huitième décennie, les liens culturels et spirituels ukrainiens-serbes ont commencé à s’affaiblir en raison du déclin des liens politiques russes-serbes. Avec le déclin de la sphère artistique de Kyïv, les modèles artistiques et culturels en provenance directe de Vienne se sont alors renforcés. À partir de cette époque, c’est l’Académie de Vienne qui était destinée à former les peintres serbes, apportant dans leur pays des éléments occidentaux et le style de la peinture autrichienne.
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Le Musée Ethnographique de Budapest conserve une icône en mauvais état qui provient de Patakófalu (Stara Stuzhytsya), plus précisément de l’éparchie de Moukatchevo. Sur l’une des faces se trouve une repré-sentation Éléousa de la Mère de Dieu, un type iconographique qui était extrêmement populaire dans le sud de la Pologne – de même qu’en Hongrie – à partir du dernier quart du xviie siècle. Certaines icônes appartenant à ce type étaient même considérées comme étant miraculeuses. Associée à une certaine signification, la Mère de Dieu était peinte pour demander la protection contre le danger et les souffrances futures. Sur l’autre face de l’icône se trouve une scène de la Crucifixion avec des personnages demandant l’intercession, dont un homme portant le costume d’un noble et sa famille. L’inscription votive en ruthène a été transcrite sur le fond de la scène. La signature du peintre permet d’identifier Stefan Wiszeński de Sądowa Wisznia. Dans le présent arti-cle, une photographie conservée au Musée National de Lviv, ainsi que des urbaria, permettent de déchiffrer l’inscription et de comprendre les circonstances de la commande.
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Au cours de la première moitié du xviiie siècle, les réformes de l’Église Orthodoxe Serbe de Hongrie se reflètent aussi dans la peinture des églises. L’établissement de liens étroits avec le Patriarcat de Moscou et la Laure des Grottes de Kyïv-Petchersk a augmenté l’influence russo-ukrainienne dans le siège métropolitain de Karlovci. On constate un éloignement de plus en plus prononcé face à l’iconographie traditionnelle et une ac-ceptation des reformes connues dans la peinture baroque ukrainienne. Le moment décisif est représenté par l’arrivée du peintre ukrainien Jov Vasilijevič en 1742. Avec le soutien du patriarche Arsenije iv, Vasilijevič fonde une école de peinture à Sremski Karlovci. Par décision du patriarche, cette école devient obligatoire pour tous les peintres d’icônes du siège métropolitain. Un décret scelle l’entrée des nouvelles modes d’expression artis-tique dans l’art ecclésiastique. Jov Vasilijevič exécute plusieurs oeuvres importantes. Il peint les iconostases des monastères de Krušedol et Bodjani; il réalise des peintures pour le patriarche; il forme plusieurs élèves qui con-tinueront à répandre cette influence de la peinture baroque ukrainienne. L’article se propose d’étudier ce style de peinture, devenu une véritable norme dans l’art religieux du siège métropolitain de Karlovci dans les années 1740-1770.
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Cette publication examine quatre icônes, qui peuvent être comparées à la production artistique d’un atelier de peinture d’icônes conventionnellement nommé « Belz-Drohobych ». Cet atelier de la Galice ukrainienne – dont la localisation géographique demeure toutefois difficile à établir – se démarque par son style artistique particulier: un ‘laconisme’ graphique rigoureux, à la fois imagier et décoratif. Ses oeuvres les plus représentatives proviennent de la ville de Belz et de la ville de Drohobych, des villages de Hrushiv et Kulchytsi (région de Lviv). Les icônes ici étudiées proviennent, en revanche, du territoire de la région roumaine de Mara-mureș. Il s’agit des icônes de Sainte Paraskevi et de l’Archange Michel du village de Budești-Susani, de l’icône de Saint Jean-Baptiste du village de Breb, et de celle de Sainte Paraskevi (probablement du Maramureș), réalisée par un certain Maître Toma. Pour la première fois, toutes ces oeuvres sont actuellement en cours de restauration. Un bref état de l’art de la recherche les concernant précède l’analyse comparative proprement-dite. Ce qui ressort de cette analyse c’est que, sur la base de l’iconographie et de la stylistique, les quatre icônes du Maramureș s’avè-rent assez proches des icônes de « Belz-Drohobych ». Cela permet de proposer une datation des icônes de Sainte Paraskevi et de Saint Jean Prodrome dans la seconde moitié du xve siècle. En ce qui concerne l’icône de l’Archange Michel, les auteurs proposent une datation au xvie siècle. Cependant, l’icône nécessiterait une étude ultérieure après sa restauration. Enfin, l’icône de Sainte Paraskevi, réalisée par Maître Toma, semble bien s’inspirer des oeuvres de l’atelier « Belz-Drohobych », mais d’un point de vue stylistique, elle se réfère à une période ultérieure: fin du xvie siècle-début du xviie siècle.
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‘After preaching, they feasted quite lavishly every day, they chose new lovers almost every night, they spent their time without being subjected to anyone, without worries, without fatigue, without danger’. In his Super Apocalypsim, the Cistercian monk Geoffrey of Auxerre describes in this way two Waldensian lady preachers, delineating an extraordinary condition of female autonomy. The article explores the ‘textual phy-siognomy’ of Super Apocalypsim, a biblical commentary written in the second half of the 1180s, but also high-lights its historical and editorial context. The testimony of Geoffrey of Auxerre, a leading representative of ecclesiastical hierarchies, allows us to analyse lexical choices and conceptual nuclei in order to clarify the speci-fic polemics underlying this description of the subversive life of an order which is represented by the two Waldensian women and the manner in which they experience female freedom. Emphasis is given to the issue of a dangerous ‘upside-down world’ (mundus reversus et perversus); this witnesses the subversive experience of the two Waldensian women. The article also recognises possible surviving traces of a radical evangelism and the attempt to create a new world (mundus novus).
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Selected bibliography in the field of Bulgarian Studies published in the current year.
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Content of the main Bulgarian scientific journals for the current year in linguistics, literature, history, folklore, ethnography, archaeology and art studies.
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This paper analyses the attitude of Bulgarian researchers towards the phenomenon of bugarštica, with special reference to the book “Croatian Bugarštica Songs and Their Bulgarian Counterparts. Studies and Texts”, edited by Stefana Stoykova and published in 2015 by the Bulgarian Academy of Sciences and the Institute of Ethnology and Folklore Studies with Ethnographic Museum. Stefana Stoykova substantiates the thesis about the Bulgarian origin of the bugarštica, present in the research spanning from Ivan Shishmanov to Antonina Afanasieva-Koleva, by analysing Bulgarian recordings from the 20th century in which, according to Stoykova, traces of bugarštica singing still remain preserved. By analysing the formula “orao se vijaše” [an eagle hovered] and the conceptualization of the falcon figure (in metaphors, as a mythical mediator between the worlds, etc.) in oral lyrical poetry in South Slavic context, this paper uncovers the consonance between bugarštica singing and other genre patterns from the 15th until the 20th century primarily in shared formulas, in style and language, in archaic mythological symbolism. The commonness of these elements is attributed to cohabitation, frequent migrations and the broadest processes of creation and duration in oral epic and lyrical traditions in South Slavic cultures.
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This paper explores the position of the rebellious, disobedient hero in his own environment on the examples of South Slavic and Russian epics; more precisely, it explores the hero’s disobedience to an authority from his social or family domain. There is a collision between the heroic status of the hero, emphasizing disobedience, independence and pride, with his social and family status, which lowers the hero on the hierarchical ladder. The hero opposes the will of his superior and sometimes explicitly shows his defiance through special gestures, specific gait or riding, often in the same way as his enemy, but unlike the enemy’s, his arrogance and daring are not always punished. An insubordinate hero is not a frequent type, although often a young hero and a neophyte. Besides, disobedience is not reserved for one and the same characters, although the most disobedient heroes are the greatest Russian hero Ilja Muromec and the greatest South Slavic hero Marko Kraljević. Disobedience is only partially a means of the heroes’ characterization, it is mainly used as a motivation, as an element of the commencement that, through the initial collision, opens the possibility for different variants of the plot, in which, in most poems, the epic prevails over the balladic resolution, the heroism over the punishment for hybris, the heroic over the magical principle.
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Book Review: Савремена српска фолклористика VIII ‒ словенски фолклор и књижевна фантастика. Ур. Дејан Ајдачић и Бошко Сувајџић. Београд: Удружење фолклориста Србије, Универзитетска библи- отека „Светозар Марковић”; Кијев: Комисија за фолклористику Међународног комитета слависта; Лозница: Центар за културу „Вук Караџић”, 2020. 518 стр. ISBN 978-86-7301-149-3
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Book Review: Ана Вукмановић. У трагању за извир водом. Слике воде у јужнословенској усменој лирици. Београд: Академска књига, 2020. 296 стр. ISBN 978-86-6263-301-9
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