
Recenzija: Slovenci in jugoslovanska skupnost
The review of: Lojze Ude, Slovenci in jugoslovanska skupnost. Založba Obzorja, Maribor 1972, 389 strani, 8°.
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The review of: Lojze Ude, Slovenci in jugoslovanska skupnost. Založba Obzorja, Maribor 1972, 389 strani, 8°.
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Dans l’introduction de l’exposé, l’auteur a décrit en détail l’écho de l’étude dans nos écrits scientifiques de l’oppression de la culture Slovène comme un des plus puissants facteurs de la politique de dénationalisation pratiquée par les occupants en Slovénie. L’exposé luLmême s’étend sur les constatations générales touchant les mouvements de tactique des occupants, et fait le tableau des conditions auxquelles leurs décisions ont conduit le peuple Slovène sous l’angle de sa culture. Ce passage révèle beaucoup plus que la différence essentielle entre leurs vues sur cette question. En même temps s’intercalent dans l'exposé des données et des descriptions qui fournissent un tableau plus complet du destin de certains points du patrimoine culturel Slovène.
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Au cours de la consultation scientifique consacrée au cinquantenaire de la révolution d'octobre et au trentième anniversaire de la fondation du Parti Communiste de Slovénie, nous devons mettre ces deux événements au même dénominateur et parler de deux révolutions, de leurs caractères communs et essentiels et de leurs caractères spécifiques, conditionnés par le temps et le lieu.
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Après les élections de mai 1935, en dépit des falsifications des résultats électoraux, de la terreur et de la pression générale du régime, l’opposition unifiée obtint un grand nombre de suffrages et se présenta comme un mouvement politique d’importance. C’est alors que, de nouveau, la question nationale en Yougoslavie apparut au premier plan; elle n’avait d’ailleurs pas cessé d’être un constant élément de crises. Il ne faut pas non plus oublier l’influence catastrophique de la crise économique mondiale ni- après sa fin- la tendance à l’orientation économique et politique vers l’Allemagne hitlérienne. Au lendemain des élections, l’opposition bourgeoise se trouva presque au sommet d’un vaste mouvement populaire contre le régime, mais elle ne sut pas lui donner de programme. Elle se décida à une politique de tergiversion. La gauche agraire seule était très active en 1935, mais elle tendait surtout à s’affirmet comme parti et non pas comme fondatrice d’un mouvement véritablement populaire et révolutionnaire.
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Dans la région du Prekmurje, les Slovènes, avaient été de tout temps opprimés tant au point de vue national que sous l’angle social et en outre exposés à une intense magyarisation. Au cours des dernières années de la Première guerre mondiale, la situation changea tout à coup. L’éveil national des Slovènes était soutenu par la Déclaration de mai, les activités de Wilson et aussi, dans une certaine mesure, par la révolution d’octobre. Une vague de révolte se fit jour parmi la population de Prekmurje surtout à partir du 2 novembre 1918. Elle fut sévèrement réprimée par la bourgeoisie, mais en mars 1919, la situation empira en Hongrie. Le prolétariat s’empara du (pouvoir et Bela Kun devint la plus haute personnalité du gouvernement des soviets en Hongrie. Dans la région de Prekmurje, le personnage le plus influent fut le dr. Bela Obal. A Murska Sobota on constitua un directoire composé de membres du parti social-démocrate, car il n’y avait pas de communistes. Le bolchevisme au pouvoir voulait faire de la région de Prekmurje une province culturelle autonome qui n’aurait pas été rattachée à la Yougoslavie. La contre-révolution gagna le bas Prekmurje au mois d’avril-elle n’y put agir immédiatement, et en mai, une conspiration contre le bolchevisme fut organisée aussi à Murska Sobota. Le 30 mai on proclama la république socialiste de la Mura. Elle fut attaquée et liquidée en 3 jours par les bataillons ouvriers de Budapest. C’est alors seulement que se multiplièrent les organisations communistes.
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Dans cette atmosphère d’élan général de libération nationale après 1918, personne ne fut surpris de voir que les hommes de lettres Slovènes étaient plutôt en faveur de la révolution d’octobre. Si nous faisons abstraction du poème de Valerijan Brjusov »Révolte« écrit en 1905 et publié dans la revue »Ljubljanski Zvon« (La Cloche de Ljubljana) dans son numéro de mars 1918 dans la traduction d’Ivan Prijatelj, trois écrivains Slovènes qui avaient été en Russie au moment de la révolution d’octobre mais étaient bientôt rentrés dans leur pays contribuèrent le plus à interpréter les événements d'alors. Pavel Golia, Josip Vidmar, Vojeslav Mole. Un des interprètes les plus éminents de la révolution était le poète et publiciste Fran Albreht, mais son esprit révolutionnaire faiblit après 1920. Les idées de la révolution d’octobre ne laissèrent pas de troubler certains écrivains catholiques p. ex. Stanko Majcen et Jože Piber. Un groupe d'écrivains dont les plus en vue étaient Govekar, .Vladimir Levstik et Ivan Tavčar tentait consciemment de minimiser T importance de la révolution. La Yougoslavie bourgeoise, par le fameux »obznana« (1920) et la »Loi sur la sécurité de l'Etat« (1921) empêcha la création d’une feuille littéraire qui se serait appuyée sur T idéologie marxiste et aurait groupé autour d'elle les écrivains d’orientation marxiste et leurs sympathisants. Mais ils eurent à Trieste deux organes, surtout rédigés par Vladimir Martelanc. Malgré tout, chez de nombreux poètes et prosateurs, les thèmes sociaux et révolutionnaires restèrent à la base de leur inspiration; Tone Seliškar, Mile Klopčič, Srečko Kosovel, Lovro Kuhar, Ivan Vuk, Rudolf Golouh, Bratko Kreft, Juš Kozak et d’autres.
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Le sort des femmes Slovènes a été, de longs siècles durant, celui du peuple Slovène, vassal de féodaux allemands, hongrois, italiens, Cependant c’est à elles que revient le mérite d'avoir transmis la langue Slovène de génération en génération. Plus tard, dans la lutte de la jeune bourgeoisie Slovène contre la bourgeoisie allemande, cette langue conquit ses droits, devint langue littéraire et aida à la formation de la nation Slovène. Tant que l’activité publique des femmes se cantonna dans le domaine national et dans celui des bonnes oeuvres ,les représentants politiques et culturels de la bourgeoisie Slovène la considérèrent avec assez de bienveillance et même lui donnèrent des encouragements. Mais, dès que les femmes dépassèrent les limites de ce qui, selon les principes d’alors, leur était permis, cette bienveillance et ces encouragements cessèrent. Lorsque, en 1872, un de nos premiers socialistes, Matija Kunc essaya de faire entrer les femmes à la »Delavska izobraževalna društva« (Société pour l’instruction des ouvriers) de Ljubljana, le quotidien libéral »Slovenski narod« trouva la proposition ridicule. Et quand la femmé de lettres Zofka Kveder publia en 1900 son livre »Le Mystère de la femme«, dévoilant dans ce mystère l’exploitation, l’injustice et la dépendance qui était le lot des femmes, et accusant le système social d’être la cause de cette situation, libéraux et cléricaux attaquèrent violemment 1’ auteur et le livre, cependant que les socialistes éminents d’alors, et parmi eux le grand écrivain Ivan Cankar, se rangeaient à ses côtés.
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Dans la période qui se place avant la fin de la première guerre mondiale et immédiatement après, il faut distinguer entre les points de vue du mouvement ouvrier italien à l’intérieur des frontières de l’Italie d’avant Rapallo et le point de vue du mouvement ouvrier italo-sloveno-croate sur le territoire plus tard attribué à l’Italie. Le premier était conditionné par un Etat mono-national et le second par l’austro-marxisme. Dans la période où la tendance à la révolution allait croissant dans l’Italie d’après-guerre, la question révolutionnaire passait au premier plan et ce n’ est qu’ en fonction d’elle que se posait la solution de la question nationale.
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Dans son exposé, l’auteur a seulement essayé de mettre en relief les problèmes essentiels dans la politique du Parti communiste croate à l’égard de la question nationale, et cela depuis sa fondation jusqu’ à la débâcle de la monarchie yougoslave, (1937—1941). Passant à ces problèmes très étudiés, l’auteur a tout d’abord montré la portée de la compréhension du caractère même de l’idée de la nécessité de la fondation du Parti communiste croate. Au début, cette idée avait surtout mis l’accent sur les questions d'organisation (1934), mais elle fit ensuite passer au premier plan la question nationale comme une des composantes essentielles de la fondation du Parti communiste de Croatie. Puis l’auteur constate, grâce à des arguments solides, que les chefs du Parti communiste croate ont manifesté un grand intérêt pour la question nationale; mais, justement en étroit rapport avec cet intérêt, le parti communiste croate eut à traverser une certaine crise qui se manifesta par une soumission encore sensible à l’influence du Parti paysan croate, principale force politique d’opposition croate à l’hégémonie de Belgrade. C’ est pourquoi le problème central de la politique du Parti communiste croate à l'égard de. la question nationale était l’impérieuse nécessité de se libérer de l'influence dont nous venons de parler. Lors de la réorganisation de la direction du Parti communiste croate (1939) cette libération a pu efficacement être réalisée, si bien qu’ en 1941, le Parti communiste croate, même à l’égard de la question nationale, s’était pleinement édifié en une force politique monolithe.
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On the basis of the protocol of the General Council, the minutes of the congresses, Marx's and Engels's correspondence, and the literature, the author in detail discusses the development of the standpoints of the 1st International considering the national, colonial and war questions, thus with particular care illuminating Marx's and Engels's tactical conception of those problems. The paper consists of four extensive chapters. In the introductory chapter, »Marx's Conception of the 1st International and the Internal and External Situation«, the author expounds, in what domestic international political circumstances Marx laid down the revolutionary tactics i-i International. By livening up the 1st International, as an instrument-to consolidate the international labour movement, Marx was aiming at a wholly clear object: basically, he had in view, through the political victory of proletarian democracy in all leading countries, to change the economic situation of the working-class He deemed the relations between the French and the British labour movements highly instrumental to the fate of the revolution foreseen by him. After discussing the revolutionary prospects, in the 2nd chapter — »The Foundation of the 1st International and the Polish Question« — the writer elucidates the mutual relations between the British and the French labour movements, which nad shown the necessity of closer ties among the workers. Eventually, these contacts lead to the meeting in St Martin's Hall, 28th September 1864, where the historic 1st International was called into existence.
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The review of: Thomas M Barker, The Slovenes of Carinthia a National Minority Problem New York-.Washington, 1960, Izd. League of CSA v zbirki Studia Slovenica. 302 str. Natisnila Družba sv. Mohorja v Celovcu.
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Dogodki, ki isem jih opisal za leto 1941 v tem člamku, so v glavnem moja osebna doživetja. V nekaterih primerih sem se zaradi povezanosti dogodkov dotaJflDil tudi takih, katerim sem osebno prisostvoval. Spominjam se jih iz obravnav in posvetovanj, ki smo jih imeli v času organizacijskih priprav za NOB v vojnorevolncionamem komiteju jeseniškega okrožja, aili pa potem v štaibu Cankarjevega bataljona. Vmes so dogodki, o katerih sem zvedel od Stanka Žagarja, alatna Pokrajinskega partijskega vodstva za Gorenjsko. Vse to utemeljujem.'Bil sem z njim v stalnem stiku od julija 1941, ko je prišel na Gorenjsko, do njegove smrti 27. marca 1942. Z Jožetom Gregorčičem pa naju je vezala borba od začetka okupacije. Menim, da je kljub takemu značaju opisovanje dogodkov leta 1941, še zelo skromen prispevek za zgodovmo osvobodilne vojske, če jo gledamo v celoti. Potrebno je zbrati celotno gradivo pri preživelih borcih, aktivistih, zapornikih, izselljencih in podpornikih narodnoosvobodiilnega gibanja. Vse pripombe na moj sestavek, vsi popravki ali dodatki bodo lahko- le obogatili zgodovmo NOB na iGorenjskem, ki za leto 1941 zaradi objektivnih razmer ne razpolaga skoraj z nobenimi pisanimi dokumenti. [...]
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Die Nazis hatten schon vor dem Aprilkrieg 1941 den Boden für die Besetzung der slowenischen Steiermark vorbereitet und Pläne für ihre Eindeutschung aus-.gearbeitet, d. i. für die Unterjochung des slowenischen Volkes und seine allmählige Liquidierung. Dabei bedienten Sie sich auch der Organisation »Schwäbisch-deutscher Kulturbund« und anderer Elemente der fünften Kolonne in Jugoslawien. Nach der Besetzung machten sie sich mit aller Gewalt an die Vernichtung alles dessen, was sie bei ihrer Arbeit an der Germanisierung des Landes hätte hindern können. Deshalb mußten Uber fünfzigtausend Slowenen in die Verbannung — Infelektuelle und Landleute —, deshalb plünderten sie sowohl öffentliche wie private Büchereien aus und verbrannten slowenische Bücher, entfernten slowenische Aufschriften, schafften .slowenische Schulen ab, beschlagnahmten' das slowenische Kapital u. s. f., mit einem Wort, sie gaben den Bestand des slowenischen . Volkes und jedenmann, der nicht gewillt war, ein getreuer Untertan des dritten Reiches zu werden, dem Untergang preis.
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Two policemen were murdered in Sarajevo on 26. October 2018. On a rare occasion uniting the whole country, 29. October was declared a Day of Mourning in the whole of Bosnia-Herzegovina. In all other aspects, the country shows very little, if any, signs of unity. The general elections of 7. October 2018 were no exception. Thus violence, uncertainty, citizens’ lack of confidence in state institutions and criminals’ disrespect of institutions continued after the elections. In both entities, the electoral campaign was marked by mass civic protests and demands to solve the unrelated murders of two young men, one in each entity. During the protests, allegations were made that even individuals at the top levels of the power structures in the country were connected with unresolved murders.
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The review of: Urs Altermatt: „Etnonacionalizam u Evropi“, “Svjetlost” Sarajevo, Ambasada Švicarske Konfederacije u Bosni i Hercegovini i Arts Council of Switzerland, Sarajevo, 1998. godine, drugo izdanje - 203 str.
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While in Albanian public opinion, the case of Dritëro Agolli is randomly recognized as the profile of an official writer, the collection of stories “Zhurma e erërave të dikurshme” is a proof or testimony that his engagement in politics and literature, creates a rather complex relationship. Taking into consideration Agolli’s profile, on the one hand as a homo politicus, his engagement in Albanian political and social life during the years of communist dictatorship, and on the other one, his profile as a homopoeticus, in which we meet the correct application of dogma and principles of socialist realism and in other cases, in a part of his work, we find him as a conscious deviant of this platform. The profile of Dritëro Agolli presents curiosity from this viewpoint. The collection of stories “Zhurma e erërave të dikurshme”, a new literary performance for its time of writing, was published in 1964, but its publication was immediately banned. But what could have happened with reader’s approach of this collection at the time of its first publishing? How should this collection be read today? In our viewpoint, this collection should be read with a more objective and critical approach, far from the prejudices or different labeling attributed to Dritëro Agolli during these years of democracy, thus avoiding the traps and intrigues of the past, from which it is better to learn rather than deny and forget.
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Kada je riječ o Krajini i mapiranju lijevih borbi u ovome dijelu svijeta i Bosne i Hercegovine, padaju na pamet Maslešina Mlada Bosna koja osamdeset godina kasnije zvuči jednako svježe (kao da je istorijski kontekst ostao nepromijenjen, što plaši) i Derridine Politike prijateljstva (1997) gdje je žena prepoznata kao remetilački faktor bratstva budući da je smještena van države kao bratske zajednice. Derridina demokratija nije neka buduća demokratija koju će odrediti istorijski uslovi već nadolazeća demokratija, “koja tek treba doći”, a možda nikad ne dođe. Lijeve borbe koje se trenutno odvijaju u Bosanskoj Krajini ne pripadaju nikakvoj jakoj političkoj organizaciji već su proizvodi napora grupa koje, kako nekad tako i danas, nastoje biti van okvira dominantne bosanskohercegovačke politike. [...]
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Prevention of crises and conflicts in the World is one of the most important and the most controversial political and legal issues that, for a long time, preoccupy international community. It is a backbone of preventive diplomacy, which is another name for diplomacy of peace. Preventive diplomatic activities are undertaken by numerous entities with unequal strength and influence, with different motives and, often with irreconcilable interests. In principle, everyone refer to great goals – permanent peace and cooperation. International security depends on the result of their confrontation. U.N. Secretary-General Boutros Boutros-Ghali introduced this term into An Agenda for Peace 1992 and set it up in the same rank with concepts as peace-keeping, peace-making and peace-building; and therefore gain high political priority. The matters reviewed in this paper are: term, history and normative framework of the preventive diplomacy, protected values, objectives and subjects of the preventive diplomacy and its implementation in the area of former Yugoslavia. Transformation of conflicts, development of the culture of political dialogue, division of authority, proportional representation and co-existence are only some of potential effects of preventive diplomacy.
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During 2017, the Ministry of Human Rights and Refugees of Bosnia and Herzegovina (MHRR BiH) developed and sent a draft 2018-2020 Action Plan for Equality of LGBTI persons in Bosnia and Herzegovina to Entity governments. The Action Plan follows the structure of recommendations of the Committee of Ministers of the Council of Europe to member states concerning prevention of discrimination on grounds of SOGI, and contains and overview of the state of affairs, necessary measures and expected results. At a session held in September 2018, the Government of Federation of Bosnia and Herzegovina (FBiH) gave a positive opinion about the received Draft, noting that it needed certain corrections with regard to the financial framework, methodology of evaluation of implemented activities, and inclusion of some governmental bodies as leading institutions (JPTC FBiH, for example). One can conclude that a minor progress has been achieved in this field in FBiH, noting that the date of adoption is uncertain, considering that no further measures have been taken since, and that a new FbiH Government is currently in the process of establishment. The Government of Republika Srpska (RS) gave a negative opinion about the proposed Draft because “public consultations with competent institutions of the RS were not conducted during the development process”. Until the time of writing this report, the Brčko District Government did not issue an opinion about the draft Action Plan for equality of LGBTI persons.
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Decembarski zahtjevi 2014-2018 obuhvataju 78 zahtjeva koji su predstavljali listu prioritetnih i konkretnih obaveza za nositelje/ice vlasti na svim nivoima u mandatnom periodu 2014. – 2018. godine. Zahtjeve je istaknula Inicijativa za monitoring evropskih integracija u decembru 2014. godine, a dostupni su na: http://eu-monitoring.ba/decembarski-zahtjevi-2014-2018/. Navedeni zahtjevi fokusirani su prije svega na pitanja funkcionisanja države, vladavine prava i ljudskih prava ili ono što bi u pravnoj stečevini EU potpadalo pod poglavlja 23 i 24. Na kraju mandatnog perioda u 2018. godini moguće je povući liniju i dobiti jasnu predstavu o tome koliko je učinjeno za protekle četiri godine u navedenim poljima. Većina obaveza identifikovanih kao prioritetne u Decembarskim zahtjevima su i dalje aktuelne i zapravo se velikim dijelom podudaraju s nalazima i preporukama Evropske komisije koje čitamo iz godine u godinu. [...]
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