Historia seksuologii. Wyodrębnienie europejskiej seksuologii.
Część I: założenia i popularyzacja nauki o seksualności
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Część I: założenia i popularyzacja nauki o seksualności
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The study is concerned with the problem of the Hungarian administration of the Duchy of Styria in the period 1254–1260. As a result of the almost complete absence of study of this theme in European historiography, the study has the basic aim of approaching this period of Central European history of the second half of the 13th century. The text of the study is based mainly on content analysis of surviving diplomatic and narrative sources from the Holy Roman Empire. The most notable result of the test is clarification of the relationship of representatives of the Hungarian administrative authorities in the Duchy of Styria with ecclesiastical institutions such as monasteries, and with the secular elite: aristocrats, officials.
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Palatine Nicholas Esterházy, one of the most important politicians of the Early Modern period, died on 11 September 1645. His funeral was held on 11 December 1645 at Trnava. We have well-known sources about the funeral of Nicholas Esterházy: the order giving the precise course of the funeral ceremony, the numerous people invited to attend, the correspondence with the Jesuit John Nádas on constructing a castrum doloris and so on. These are supplemented by a newly discovered source: a list of people invited to the funeral. It gives us a first view into the presentational customs of the Hungarian elite of the time, and tells us who apart from the important domestic guests, was invited to the funeral of the “First Man of the Kingdom of Hungary” from abroad. Funerals were an important opportunity for presentation, and the final farewell to the departed had to correspond to his social status.
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En Bosnie-Herzegovine, Ton a conserve un assez grand nombre de ces kefillemes datant de differentes époques du régné turc. Us sont très intéressants pour les etudes du passe de ces pays, mas il n'y en a aucun qui puisse se mesurer avec celui de Molla Mehmed Mestvica: il est le plus complet, le plus détaille et le plus original de tous ces cahiers. Il est unique par sa conception: ce n'est pas une statistique seche mais un vaste volume (226 feuilles) plein de donnés tres intéressantes sur l'etat anthropologique, social et sanitaire de toute la population masculine de la ville de Sarajevo et de son arrondissement (nahie) au cours des années 1841-42. Grâce a la curiosité intellectuelle de Mestvica, nous disposons de data démographiques précieux aur la repartition religieuse des habitants de ladite contrée, mais aussi sur leurs habitus physicus (âge, taille, couleur de cheveux et maladies chroniques), sur les migrations, sur leurs professions etc. L’oeuvre de Mestvica est sans exemple dans la littérature mondiale, c’est pourquoi la Yale University a offert, il y a trente ans, de la publier, traduite mot a en anglais, avec une vaste etude la-dessus que j’ai écrite et qui est publiée ici en raccourci.
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Le musee de la ville de Sarajevo dispose d’une collection d'aquarelles relatives a la prise de la ville en 1878 par des troupes austro-hongroises. Ces aquarelles sont dues aux peintres autrichiens plus ou moins connus qui faisaient partie de l'armee occupante. L'auteur de ce travail compare les textes traitant de cet événement, et qui avaient paru dans differentes publications, au sujet des aquarelles en question et en établit l’authenticité.
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Kranjčević collabore à la rédaction de la »Nada«, de 1894, à 1904. II est rédacteur de plusieurs rubriques, il engage activement et avec abnegation des collaborateurs, et il entretien la correspodance avec eux. Quelques unes de ses lettres adresees aux correspodants ont été conservées. La correspondance du poète avec Jakov Čuk (Jakša Čedomil), critique littéraire croate remarquable, de Zadar, a une signification spéciale. La correspondance comprend ving-sept lettres écrites de la main de Kranjčević. Elle est caractéristique comme document du temps, car elle représente une particule des archives de la revue »Nada«, mais aussi comme document relatif a son activité, en qualité de directeur de ce périodique, étant donne qu'on parlait avec suspicion de l’activité du poete dans cette revue purement gouvernementale. Les lettres sont intéressantes, car on en apprend aussi quelques détails de la vie du poete aussi bien que ses jugements autocritiques relatifs a sa personne et a ses propres œuvres.
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En etudiant la vie et l’oeuvre du peintre bosniaque et yougoslave Jovan Bijelić, l'auteur de cet article a fait un aperçu succinct sur le séjour et l’activité de ce grand peintre dans la capitale de la Bosnie-Herzegovine. Consultant souvent des artistes et des matériaux d’archives, l'auteur a révélé beaucoup de données précieuses, jusqu’à présent ignorées, sur la vie et l'activité de ce peintre-boheme, ce qui lui a permis de reconstituer cette periode de sa vie et de sa creation. Cette etude commence par l’arrivee du jeune Bijelić a Sarajevo, fin août 1897, et comprend cinq années de lycée (années scolaires 1897/98 - 1902/03), lors desquelles il n'a termine que trois classes. Vient ensuite la periode d’egarement, époque ou le jeune eleve essaie de vivre sans l’aide des parents, de gagner sa vie grace a une »artistique« activité liberale, en luisant des portraits-miniatures au crayon, rarement quelques aquarelles; le plus souvent c’était des portraits de ses connaissances et amis. Et quand, soudain, vint a Sarajevo le peintre tchécoslovaque Jan Karel Zjanovic Janovski, qui fonda le 2 septembre 1906 - dans une salle de classe de l’Ecole artisanale nationale - une »ecole de peinture« privée, Bijelić se jeta avec enthousiasme dans l’apprentissage, en vue de parachever ses connaissances picturales. L’instruction de deux ans qu’il reçut chez Janevski se limitaii, d’une maniéré generale, a des connaissances appliquées et initiales. C’est avec de telles connaissance et avec la bourse de la »Prosvjeta« de Sarajevo que le jeune Bijelić s’inscrivit a l’Academie de Krakow. Pendant toutes ses etudes en Pologne ( 1908-1912), les etudes de sept mois a Paris (novembre 1913 - juin 1914), et le séjour de cinq mois à Prague, il est étroitement lié à Sarajevo d'où il reçoit une aide matérielle, d’ou vient sa bourse offerte soit par l'Association culturelle et artistique serbe »Prosvjeta« soit par le gouvernement national de Bosnie-Herzégovine. C'est a Sarajevo egalement qu'il a expose pour la premiere fois ses tableaux (en septembre 1912). Cinq ans plus tard, en octobre 1917, il a participe a la premiere »Exposition des artistes de Bosnie-Herzégovine«. Ce n’était pas la les derniers liens de Bijelié avec Sarajevo. Ces liens ne seront rompus ni pendant son séjour à Bihać, où il fut assaistant au Grand Lycée (1915-1919), ni au moment où il quitta definitivement Sarajevo pour Belgrade. Vers les années trente il a visité à plusieurs reprises Sarajevo, pour voir ses amis, visiter les alentours de la ville et dessiner ses motifs préférés: Bendbaša et Kozja Ćuprija. Bien que très avance en âge, fatigue et épuisé, il continuera ses vivites a cette ville (en 1957, 1959, I960) où il repassait si souvent pour renouveler ses souvenirs. Des dizaines de paysages extraordinaires, représentant cette ville, ont porté loin la gloire de sa peinture.
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L'etablissement des détachements de partisans »Romanija«, »Zvijezda« et du détachement de Kalinovik, effectué selon les recommandations et les décisions de l’Etat-major du Mouvement pour la Liberation Nationale prises a Stolice, a ete realise au cours du mois d’octobre 1941. Cela voulait dire qu'on avait renonce a l’idee de former un regiment dans la montagne Romanija et une brigade dans la region situee entre le mont Jahorina et ie village de Kalinovik. Le détachement, en tant qu'unite militaire, partout où il était forme s’est avéré reel et justifie et a contribue a un essor plus important de la revoile populaire, au toujours croissant nombre de partisans et aux grands succès obtenus en 1941. Bien que les trois détachements des partisans des environs de Sarajevo aient eu une activité presque indépendante, au moment où l'Etat-major de Sarajevo fut supprime, leurs activités, mises sous le commandement ue l’Etat-major du Mouvement, pour la Liberation Nationale de Bosme-tlerzcguvine, ont ete tres coordonnées, il était evident qu' il existait un plan d operations militaires bien defini, d'operations qui furent toujours compte Lement réalisées. C'était le pian on plutôt ia tache primordiale primitivement destinee a l’Etat-major ae ta region de Sarajevo, pian qui prévoyait le »nettoyage« des environs de Sarajevo, l'encerclement et la liberation definitive de ia ville. C'est pourquoi on a prêté une attention particulière a l'augmentation du nombre de combattants, tache qui fut le mieux realisee a Romanija. Les unites des partisans des environs de Sarajevo comptaient en tout, a cette epoque, environ 7.500 combattants. On entreprenait egalement des operations systématiques en vue de détruire toutes les voies de communications, des ponts, des lignes de chemin de 1er, des lignes téléphoniques et télégraphique^, ce dont n reste assez de documents bien conserves témoignant de arrêt total ou partiel de toute circulation sur les voies de communications menant vers Sarajevo. Cela entraînait un veritable désarroi dans l'organisation et le fonctionnement des autorités »oustaciii« (»oustachi« étaient des collaborateurs fascistes recrutes parmi les Croate et les musulmans du pays) du soi-disant »Etat Croate Indépendant«, ce qui était tres important d'autant plus que c’est une region abondant en richesses naturelles auxquelles l’occupant nazi s'intéressait particulièrement. Le remorcement des unites partisanes et les attaques effectuées sur les voies de communications, caractéristiques d’une guerre de partisans, de meme que les attaques inattendues et les diversions, la prise des bourgs moins importants, ont permis le changement du caractère des operations: on procédé aux operations plus importantes permettant un »nettoyage« plus efficace et la prise permanente du territoire, effectues par les trois détachements. , Les trois derniers mois de 1941 sont caractérisés par des luttes toujours plus acharnées, par une intese activité et initiative des forces libératrices dans cette region. Au cours de ces trois mois on a realise les fronts dits »de lutte« aux environs de Rogatica, Kalinovik, Visegrad, Olovo, Pale et de Varež. Maigre les frequentes contre-attaques des Aitemends et de leurs collaborateurs, malgré les mesures répressives les plus drastiques, qui traduisaient sa rage et son impuissance, l’ennemi essuyait de très grandes pertes et était extrêmement menace et force a se détendre. Vers ta fin octobre la ville de Rogatica a ete liberee, le village de Tmovo au commencement du novembre. A la même epoque la région ou opérait le détachement »Zvijezda« a été complètement »netoyee« dans la direction des villes de Vareš et d'Olovo; le territoire libère du détachement »Romanija« s'est répandu jusqu’aux villes de Visegrad et de Goraide - le même détachement a pris les positions stratégiques très importantes des Roches Rouges et des d’Aigle du mont Romanija. Au mois de decembre les partisans ont attaqué le village de Pale, un des bastions protégeant la ville de Sarajevo; ils ont libéré la ville d'Olovo, la vallée de la Krivaja; ils attaquèrent également la ville de Vares qui fut complètement cemee par des unités partisanes. Une telle situation a fait que le général plénipotentiaire de Zagreb demandât au Haut commandement de faire venir une division allemande du front oriental. , Car, vers la fin décembre 1941, toutes les positions ennemies ont été liquidées sauf quelques unes à proximité immédiate de la ville de Sarajevo. De cette façon-la ont été remplies toutes les conditions permettant la réalisation de la tâche et de la conception capitales: libération de la capitale de la Bosnie-Herzégovine.
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Plusieurs Français, se rendant en Orient, passèrent par Sarajevo dès le XVIie siècle. Mentionnons, en tre autres, les noms de Louis Geclovn. Quiclet et Poulet, au XVIle siecle. et celui du comte de Bonneval. au XVIIIe. Ce dernier passa, en 1790-1731. plus d’un an a Sarajevo et. bien qu’issu d’une ancienne famille de fervents catholiques, il y embrassa l’islam. Mais, par suite de l’intérêt que Napoleon po rtait aux pays slaves du sud. et a l’Orient en général, nous rencontrons de nom breux voyageurs fran ¬ çais en Bosnie et à Sarajevo su rto u t au début du XIXe siècle. Ils peuvent être rép artis assez succinctem ent en plusieurs groupes, d’après leur profession et le but. de leur voyage en Bosnie: diplom ates (Pierre David, consul gênerai de France à Travnik. C haum ette Des Fossés), enveyes m ilitaires (Charles P ertusier. Félix Beaujour). officiers de reconnaissance (le général Ch. -N. d ’Anthouard. les capitaines Leclerc, Roux-la-Mazeliére. Riollay), quelques Français de passage (Hugues Pouqueville. Pascal-Thom as Fourcade), etc. Tous ces voyagcurs, officiels ou non. av aien t l’heureuse habitude, imposée à certains d’entre eux. de décrire leur itinéraire, de composer des récits de voyage, de noter leurs im pressions su r le pays et sur ses habitants. Le présen t article, pour lequel M. Šam ić a utilisé quelques fragm ents de son ouvrage Les Voyageurs français en Bosnie. .. (Paris. Didier. 1960. 235 pp.). est consacre au séjour des voyageurs français à Sarajevo et aux trois asnects que présentent, d ’après leurs im pressions et leurs notes, la vie de la capitale bosniaque: l’aspect pittoresque (Sarajevo offre »un magnifique coup d’oeil«), l’aspect politique (Sarajevo: république oligarchique), l’aspect economique (Sarajevo: ville florissante).
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Auteur des contes, publiciste, historien culturel et traducteur, Marko Marković (1898-1961) a écrit de nombreuses études sur l'histoire de la vie culturelle de la Bosnie-Herzégovine, publiées dans les journaux et les revues et, pour une grande partie, dans deux livres d'études et d'essais. Dans ces articles Marković suivait le développement de la vie culturelle en BosnieHerzégovine depuis le dix-neuvième siècle, c’est-à-dire depuis le début de différentes activités culturelles jusq’aux faits culturels contemporains. Une importante partie des travaux de notre auteur sont composés par des contributions ou l’on parle de la vie culturelle a Sarajevo entre les deux guerres mondiales. Les articles de Marko Marković sur les développements culturels à Sarajevo e n tre les deux guerres ont sans doute une valeur pour l'étude de la vie culturelle de cette période. Ils sont d’autant plus im portants q u ’aucun historien culturel, excepté Marković, et qui serait son contem porain, ne s’occupait d'une pareille activité dans cette m esure et avec cet amour. Tem porellem ent. ces articles com prennent toute la periode entre les deux guerres, et par les sujets ils se rapportent au théâtre et à la littérature en premier lieu, et ensuite aux journaux et aux revues, à l'activité des éditeurs et des libraires et quelques autres actions culturelles et événements. Les contributions qui serv en t à éclairer ia vie culturelle a Sarajevo entre les deux guerres p ren n en t une place prépondérante dans l’oeuvre de M arko M arković consacrée a l’histoire de culture. Cette place n ’est pas déterm inée seulem ent p ar le fait que leur au teu r est ju sq ’à present le plus fécond chroniqueur des faits culturels à Sarajevo dans la période citée, mais, non moins, p ar quelques autres faits, parm i lesquels le volum e et l’im portance de ces travaux dans la connexion de la contribution à l’étude de l’histoire du développem ent de la vie culturelle en Bosnie-Herzégovine fait par Marko Marković. Sous la plum e d'un participant dans ia vie culturelle de Sarajevo entre les deux guerres, ces contributions de Marković, même quand il ne touche, comme c’est souvent le cas, à quelque problem e d’une plus grande im portance que d’une m aniéré fragm entaire, ont une valeu r de source historique a laquelle on peut se fier com plètem ent. Com pares aux realisations qui leu r précédaient dans la litté ratu re historique de Sarajevo, ces etudes de M arko M arković représentent un prem ier et sérieux effort de donner, meme dans un volume limité, la place dans notre historiographie à une période du passé récent de Sarajevo qui était à la périphérie de la preoccupation des particuliers de même que des collectives scientifiques.
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The article deals with economic and social relations between Lviv, as the largest Ukrainian cities in the Medieval Ages, and the towns of Moldavian principality. They were established primarily on economic grounds, as trade routes to the East passed through the principality. Lviv officials supported the political and diplomatic steps of the Kingdom of Poland towards rapprochement with the Principality of Moldavia. Economic relations developed especially intensively under Stephen the Great, prince of Moldavia in the second half of the 15th century, when the Turks captured the northern Black Sea coast with the main trading ports of Kaffa, Kilia, and Cetatea-Alba.In addition to the important function of ensuring the transit of oriental goods to the West, Moldavian merchants supplied the Lviv market with local goods. Lviv city books note large consignments of oxen and beluga fish among the main products of Moldavian exports. In exchange, Lviv merchants supplied the Moldavian market with large quantities of Western cloth, iron products, and dyes. The organization of trade processes was facilitated by the protectionist policy of the Moldavian prince, who granted a number of privileges to the city of Lviv. Strong trade and economic contacts arose due to the large diasporas of Armenian and German merchants that existed in Lviv and Suceava, Seret, and other Moldavian towns. Merchants’ groups and companies arose among Armenians, Germans, Wallachians, and Ruthenians on both mononational and multinational grounds. Immigrants from the Moldavian principality settled in Lviv and the region; on the one hand, they provided stronger economic contacts, and on the other hand, they avoided the threatening Turkish expansion into Moldavian lands.
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Reading reminiscences and notes of besieged citizens of Leningrad many times one can come across information concerning famine set in the Russian city during the civil war. It turns out that those two boundary experiences imply many frightening similarities, such as the same mechanism of behavior towards escalating famine. The article attempts to analyze Reminiscences by Dmitry Likhachov from this perspective. The author pays attention to the similarities in describing famine in Petrograd and Leningrad, but also differences. After all, the famine in post-revolutionary Russia is present in Likhachov’s witness in the context of reminiscences form his childhood. Whereas, the siege of Leningrad is seen by grown-up man — husband, father, but also son, who in an interesting way records traumatic changes of the body and psychology of besieged man.
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This article presents the phenomenon of dating game shows discussing selected examples of shows in the context of transformations taking place in different spheres of social life and characteristic of the current post-modern society. The said transformations are also affecting romantic relationships, which are marked by a growing interest of singles in alternative methods of searching for a life partner. One of these methods involves participating in dating game shows that have recently enjoyed a rising popularity. The article also presents and compares the ways of establishing romantic relationships between women and men both in the past decades and today. The aim of the article is to present dating game shows as one of the modern alternative methods of searching for love and establishing romantic relationship in the 21st century.
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The purpose of the article is to establish a register of envoys elected by sejmiki in the Grand Duchy of Lithuania to the lower chamber of parliament, participating in the Sejm (Warszawa, 3 May to 10 June 1570). This Sejm was the first joint Polish-Lithuanian Commonwealth parliament after the union of Lublin (1569). The register is based on a list of envoys written down for the purpose of paying out a flat-rate fee for participation in parliamentary works (the so-called strawne).
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This article discusses the usurper Leontius’ origin and career up until the year of 481/482. He was most likely born in a family belonging to the circles of provincial aristocracy, which enabled him to receive a good education. As for his ethnicity, contrary to a rather popular scholarly opinion that he was from Isauria, he might just as well have come from Syria (as Theophanes points out directly). Regarding his position as magister militum per Thracias, it seems that he could have held it in the years 478–482 (there is no certainty that he exercised this function in 484). He probably had known Illus before 481/482.
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Review of: Xosé Manuel Nuńez Seixas y Oleg Beyda, Un ruso blanco en la División Azul. Memorias de Vladímir Kovalevski (1941), Barcelona 2019, Galaxia Gutenberg, ss. 280
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Review of: Aleksander Szklennik, Wspomnienia o wydarzeniach w Wilnie i w kraju. Dziennik, wstęp i oprac. Joanna Gierowska-Kałłaur, Instytut Historii PAN, cz. 1, Warszawa 2018, ss. 960, cz. 2, Warszawa 2019, ss. 1067 („Metamorfozy społeczne”, t. 18)
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The article analyses reading of the fragment …in dulci piper habente, parum cariofili et gingiber, costum et spicam nardi vel folium included in chapter 13 of De observatione ciborum by a Byzantine doctor Anthimus. The author attempts to reconstruct (on the basis of topical culinary, agronomic and encyclopaedic literature) the technology employed in preparing of the said sauce, and claims (having analysed culinary and medical sources) that the term folium used in the recipe denotes tejpat (Cinnamomum tamala [Buch.-Ham.] T. Nees & Eberm). The research leads to the conclusion that Anthimus’ literary advice is based on his in-depth medical knowledge, which not only included a theory borrowed from a number of authorities but also resulted from his personal therapeutic experience.
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