СУВЕРЕНОСТ ДРЖАВА И МЕЂУНАРОДНА ЗАШТИТА ПРАВА ЧОВЕКА
STATE SOVEREIGNTY AND INTERNATIONAL PROTECTION OF HUMAN RIGHTS

Summary/Abstract: Dams le travail rauteur prend en considération la question actuelle des rapports entre la souveraineté des états et la protection internationale des droits de l'homme. Il traite tout d'abord la limitation du domaine réservé de l'état à travers les différentes manières de protection des droits de l'homme depuis les interventions d'humanité' passant pair la protection diplomatique des particuliers et la plaintedes états contre les autores états à condition que ceux-ci ne respectent pas les droits de l'homme jusqu'au positio standi du particulier en "troit international. Puis il s'arrête sur. las clauses de la Charte des Nations Unies constatant que le contenu du paragraphe 10 de l'article 2 de cet acte dépend de l'appréciation politique de l'organe qui délibéré de l'exception concernant le domaine réservé. Ayant expliqué que la pratique de l'Organisation mondiale a rejeté la thèse conformément à laquelle les droits de l'homme sont l'objet de la compétence internationale seulement ïsi leur violation ne constitue pafs de ménace pour autre domaine d'une plus haute importance, pour les relations entre les états, telle que la paix et la sécurité internationale, l'auteur «aborde l'analyse des rapports entre la souveraineté et les conventions internationales relatives aux droits de l'homme. A cette occasion il expose les raisons selon lasquelles on peut constater que la protection internationale des droits de l'homme est d'autant plus efficace dan's les cadres régionaux que dans les cadres universels, puis il s'arrête sur la coordination du domaine réservé et de la protection internationale par l'introduction de certaines mesures de protection dans les clauses facultatives ou dans les actes physiquement séparés des dispositions juridico-matéiielleis. Il prête attention „au danger public qui menace la vie d'une nation", à la clause fédérale et coloniale, cherchant leur place dans le rapport qu'il examine. A la fin il considère le rapport ides organes internationaux de protection des droits de l'homme à l'égard de la souveraineté des états et constate que ces organes-ci constitués par des personnes élues ad personam présentent moins de danger pour la souveraineté des états que ceux composés des représantants des états. L'auteur finit par la conclusion que la souveraineté des- états est actuellement supérieure à la protection internationale des droits de l'homme.

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