MBI VENDIN E MJETEVE TE EPTIMIT NE GJUHEN SHQIPE (Vështrim historik)
A PROPOS DE LA PLACE DES MOYENS DE LA FLEXION DANS LA LANGUE ALBANAISE

Summary/Abstract: La dénomination des moyens de la flexion change selon le point de vue synchronique ou diachronique. Si l’on part de l’état actuel où se trouve l’albanais d’aujourd’hui, formellement on distingue trois types de flexions: la flexion en position finale du mot, la flexion en position intermédiaire du mot et la flexion en en position initiale du mot (respectivement: djal-i, djal-it, djal-in; cil-i-do, cil-in-do; djali i mirë,djalit të mirë, djalin e mirë etc.). Par contre, si l’on part du point de vue diachronique, pour préciser le type, il faut voir également la provenance de ces moyens ainsi que les valeurs qu’ils ont prises aujourd’hui. A propos de la flexion à la fin du mot, on a tant parlé et on connaît généralement les conclusions. Par contre sur les deux autres types on a peu parlé, et les conclusions ont été faites en partant du point de vue synchronique. En nous en tenant, d’une part, au concept de la flexion, et d’autre part au point de vue historique des donnés linguistiques, chaque changement n’est pas forcément une flexion. Le changement, qui est également une flexion, vise à l’expression des sens grammaticaux, et, en principe, n’est pas obligatoire pour une représentation phonologique du mot. Les problèmes les plus compliqués sont liés au caractère des changements, à la place des moyens et à l’hyper - caractérisation grammaticale. Dans la langue albanaise il y a des structures nominales et pronominales très compliquées, non pas seulement par la forme, mais même par la raison de l’acquisition de ces formes. Dans ce cas nous faisons allusion premièrement aux structures préarticulées des adjectifs, des noms de la semaine et des pronoms.

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