Facultatea de Litere şi Filosofie a Universităţii din Iaşi. Recrutarea corpului profesoral în primul deceniu interbelic
The Faculty of Letters and Philosophy of the University of Iasi. Recruitment of the professors in the first decade in the interwar period

Summary/Abstract: La nomination d’un enseignant à un département universitaire a été pendant l’époque entre-deux guerres, un problème qui a concerné également les Universités, Le Ministère de l’ Intruction et la classe politique aussi. En tentant à harmoniser les systèmes existants en France et en Allemagne, la loi roumaine a introduit dans la loi de l’éducation de 1912, la loi Arion, la pratique de l’examen et celle-là de l’appel. Ainsi, en Roumanie entre-deux guerres deux modalités diférentes ont été à la base de le recrutament du corpus universitaire. Bien qu’il avait été conçu comme exception, en désirant l’évitation de l’examen de quelques professeurs consacrés par les oeuvres de grande valeur, l’utilisation de l'art. 81 a été imposée comme une règle. Les contestations auxquelles le principe de l’appel a été soumis, ont fait qu’ en 1925 le Ministère de l’Instruction a institué un nouveau filtre pour la recrutament du corpus universitaire, une commission de spécialistes pour se prononcer sur la qualité des oeuvres du candidat dans le cas d’une récomandation avec l’article 81. Pendant la première décennie entre-guerres, la Faculté de Lettres et de Phylosophie a constitué le lieu où on a été formé des groupes de professeurs en vue de la récomandation d’un candidat favori. Le plus souvent, une récomandation a été gestionée par les professeurs reunis autour de Garabet Ibraileanu, le soi-disant group de la rêvue „Viaţa Românească”. Les nominations de la période 1919-1927 nous montrent la manière dont elle s’est imposé comme regle dans la récomandation d’un professeur. Cette chose supposait, de la partie du group soutenant, l’adhérasion aux coalisations pour moment, l’utilisation au maximum de la conjoncture politique, la limitation des oposants et la gestion du réseau avec le Ministère de l’Instruction détenu par libéraux, en ce moment-là leurs adversaires politiques. En même temps, la préocupation princiale a été qu’aux postes d'enseignants soient cooptés des élements des plus meritants ou prédisant un cheminement de carrière et, non moins important, ils ont été enclins à se déplacer dans la ville. Après 1919, nous pouvons remarquer une tendance particulière qui forme le contexte de recrutements. Les 60 ans depuis la fondation de l'Université de Iaşi, elle est restée sur une statut marginal, l’une des causes étant la manque de professeurs titulaires de chaires ou la présence constante des professeurs „ambulants” (titulaires qui enseignaient à Iaşi mais habitaient à Bucarest).

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