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Misleading Mirrors: the Imaginary of Opiates in Translations of Baudelaire’s Le Poison and Reve Parisien
Misleading Mirrors: the Imaginary of Opiates in Translations of Baudelaire’s Le Poison and Reve Parisien

Author(s): Andrada Fătu-Tutoveanu
Subject(s): Cultural history
Published by: Studia Universitatis Babes-Bolyai

Summary/Abstract: Miroirs capricieux. L’imaginaire des opiacées dans les traductions de Le Poison et Rêve parisien. L’intérêt de Baudelaire pour l’opium (dans ses lectures, sa vie ou son écriture) parle d’une option pour un certain type d’imaginaire, imprégnée avec le goût de l’infini, du gouffre, de l’éternité, d’une attraction dangereuse pour un univers alternatif, au-delà du monde et du soi-même. Dans cette espace, le miroir prend deux visages: c’est une métaphore double, pour l’hallucination opiacée (comme une forme de contemplation du soi) et pour la réflexion des images poétique dans la traduction, miroir trompeuse, capricieuse, problématique. L’étude s’intéresse pour ces deux facettes: son premier section est réservée a établir les dates spécifiques d’un univers opiacé, tant que le second s’occupe d’analyser comparativement plusieurs traductions de deux poèmes de Baudelaire. Si dans Le Poison la référence à l’opium est explicite, dans Rêve parisien l’analyse s’intéresse pour l’imagerie aquatique, fluide, signifiante pour la rêverie opiacée. Le choix des mots des traducteurs pour représenter cette imagerie parle de différents grades de compréhension du complexe opiacé baudelairien, aussi que d’une interprétation critique. Miroirs capricieux. L’imaginaire des opiacées dans les traductions de Le Poison et Rêve parisien. L’intérêt de Baudelaire pour l’opium (dans ses lectures, sa vie ou son écriture) parle d’une option pour un certain type d’imaginaire, imprégnée avec le goût de l’infini, du gouffre, de l’éternité, d’une attraction dangereuse pour un univers alternatif, au-delà du monde et du soi-même. Dans cette espace, le miroir prend deux visages: c’est une métaphore double, pour l’hallucination opiacée (comme une forme de contemplation du soi) et pour la réflexion des images poétique dans la traduction, miroir trompeuse, capricieuse, problématique. L’étude s’intéresse pour ces deux facettes: son premier section est réservée a établir les dates spécifiques d’un univers opiacé, tant que le second s’occupe d’analyser comparativement plusieurs traductions de deux poèmes de Baudelaire. Si dans Le Poison la référence à l’opium est explicite, dans Rêve parisien l’analyse s’intéresse pour l’imagerie aquatique, fluide, signifiante pour la rêverie opiacée. Le choix des mots des traducteurs pour représenter cette imagerie parle de différents grades de compréhension du complexe opiacé baudelairien, aussi que d’une interprétation critique.

  • Issue Year: 52/2007
  • Issue No: 3
  • Page Range: 181-190
  • Page Count: 9
  • Language: English