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The authors analyze the attitudes of Greek scholars towards the role of the Lausanne Peace Conference held in 1922–1923 in determining the fate of the Patriarchate of Constantinople after the disintegration of the Ottoman Empire. Dealing with ecclesiastical as well as secular historiography, the authors single out a manifest tendency on the part of Greek historians towards subjectively viewing the historical data reconstructed by the authors of the present article on the basis of extant sources. The authors demonstrate that Greek scholarly literature abounds in assertions that the future fates of the Patriarchate were on the agenda of the Lausanne Conference from its very beginning, and that in the course of this Conference the terms upon which the Patriarchate could stay within Turkey and its new legal status were agreed upon; according to Greek scholars, the very fact of the Patriarchate issue emerging and being discussed during an international political conference claimed that this religious institution enjoyed a kind of international legal entity. The authors make it clear that the source of such attitudes is to be sought in the Greek government and in the stance of the leading hierarchs of the Greek Church who deemed it important to preserve at any cost the Greek ecclesiastical presence on the Turkish territory. It is precisely this goal that explains the attempt at raising the political weight of the Patriarchate of Constantinople using the authority of a major international event. In conclusion of their article, the authors cast doubts on the view that the Lausanne Peace Conference should be considered a chronological milestone in the history of the Church of Constantinople. Instead, they propose to postulate as such a milestone the emergence of the Turkish Republic and the concomitant transformation of political and religious institutions.
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A la fin de la Deuxième Guerre Mondiale, l’Université de Iași a perdu plusieurs professeurs, exclus pour de raisons politiques, décédés ou réfugiés de la Roumanie en d’autres pays, à cause de l’instauration du régime communiste. La situation était la même à la Chaire d’Archéologie et de Préhistoire de la Faculté des Lettres et Philosophie. La réforme de l’enseignement de l’année 1948 a copié le modèle soviétique; entre autres, les anciennes chaires, basées sur la spécialisation, ont été remplacées par des cours à caractère général. Pour l’histoire sont apparus des cours d’Histoire de la Roumanie et d’Histoire universelle, pour chacune des quatre grandes périodes (ancienne, médiévale, moderne et contemporaine). Les nouvelles autorités ont solutionné le besoin de personnel pour l’enseignement d’archéologie et d’histoire ancienne à Iași par le transfert de quelques spécialistes du Musée National d’Antiquités de Bucarest, parmi lesquels le professeur Mircea Petrescu-Dîmbovița (1915-2013), qui a été chargé des disciplines d’Histoire ancienne de la Roumanie et d’Histoire de la commune primitive. Il était le disciple des professeurs Ioan Andrieșescu (le fondateur de l’archéologie préhistorique scientifique en Roumanie) et Ion Nestor (sous la direction duquel il a soutenu son doctorat en 1947. Dès son arrivée à Iași (1949), il a reçu aussi le poste de chercheur au Musée d’Antiquités de l’Université, qui a été ultérieurement encadré dans la structure de l’Institut d’Histoire de l’Académie Roumaine, récemment créé. Ainsi, son activité didactique a été étroitement entrelacée avec celles de muséologie et de recherche scientifique, parce qu’il est devenu le directeur du Musée d’Histoire de la Moldavie (la nouvelle dénomination, à partir de 1956, de l’ancien Musée d’Antiquités) et le dirigeant du Secteur d’Histoire ancienne et d’Archéologie (1953) du cadre de l’Institut d’Histoire. Le Secteur d’Archéologie et le Musée ont fonctionné ensemble jusqu’en 1968, au Palais de la Culture, ce qui a été bénéfique pour l’évolution intégrée de l’archéologie à Iași. Plusieurs activités didactiques d’archéologie se sont déroulées au Musée, où il y avait une bonne bibliothèque de spécialité, aussi bien que la possibilité de travailler directement avec des matériaux archéologiques, ce qui a attiré les étudiants vers ce domaine. A partir de 1967, le professeur Petrescu-Dîmbovița est devenu directeur de l’Institut d’Histoire et d’Archéologie et a quitté la direction du Musée. La nouvelle situation lui a permis de joindre encore étroitement l’activité didactique et de recherche et de réaliser une ouverture vers l’archéologie d’autres pays, par des échanges intenses, de travaux scientifiques, des participations aux réunions scientifiques internationales et par l’accueil de quelques archéologues renommés à Iași (Vere Gordon Childe, Marija Gimbutas, Tatjana Passek etc.). En 1984, à l’occasion du centenaire de la découverte de la station éponyme de Cucuteni, une importante session scientifique internationale a été organisée à Iași; les commu¬nications ont été publiées dans un volume de référence, où des repré¬sentants de premier rang de la recherche archéologique et des domaines interdis¬ciplinaires de Roumanie et d’autres pays (M. Gimbutas, Olaf Höckmann, Linda Ellis, John G. Nandris, Gisele Burger) ont signé leurs contributions. Une préoccupation permanente du professeur Petrescu-Dîmbovița a été la formation des spécialistes, nécessaires pour l’accomplissement des objectifs à longue durée qu’il envisagé: investigations archéologiques de surface intenses et permanentes sur tout le territoire de la Moldavie afin de remplir les grandes lacunes concernant le passé de cette région; exécution d’amples fouilles archéo¬logiques, par la découverte exhaustive de quelques habitats; la formation d’un dense réseau de musées en Moldavie, destinés à la recherche intensive de certaines micro zones. Au fur et à mesure, il a réussi à former des chercheurs spécialisés dans toutes les grandes périodes de la Préhistoire et Protohistoire; quelques-uns ont devenu également ses collaborateurs didactiques, à l’Université. Hormis les connaissances reçues aux cours et séminaires, ces spécialistes ont été surtout formés par trois voies principales: A) La participation des étudiants aux travaux des chantiers archéologiques école (Trușești, Bicaz, Hlincea, Cucuteni, Erbiceni, Stoicani, Foltești etc.) et pendant l’année universitaire à des activités de laboratoire (l’étude des matériaux résultés des fouilles).B) Le cercle scientifique des étudiants en archéologie et histoire ancienne pour qu’ils puissent faire eux-mêmes des travaux scientifiques, qui étaient ouvertement discutés et analysées dans la présence des professeurs de spécialité. L’activité du cercle a représenté un cadre important pour la formation et la sélection de futurs spécialistes. C) Le conseil des candidats au doctorat, activité commencée dès 1964, quand le professeur Petrescu-Dîmbovița a reçu la maîtrise des doctorats à la Faculté d’Histoire de l’Université de Iași. Parmi les doctorants du Professeur il y avait non seulement des spécialistes de Iași et de Moldavie, mais aussi d’autres zones du pays. Les thèses élaborées sous la direction du Professeur ont pu ultérieurement être publiées en tant qu’études et monographies. En 1969, par l’initiative du professeur Marin Dinu (collaborateur du professeur Petrescu-Dîmbovița), a été refondé le Séminaire d’Archéologie de l’Université (existant dans la période entre les deux guerres), ce qui a permis aux étudiants de connaître directement les matériaux archéologiques dans les heures de séminaire et de travaux pratiques. Le Séminaire a été aussi conçu comme un établissement de recherche, ayant un laboratoire de restauration et un cabinet de dessin et de photographie des pièces archéologiques. Le Séminaire fonctionne encore à cette heure dans un bâtiment monument historique. La collection archéologique du Séminaire, enrichie par les fouilles entreprises après 1990, a offert le matériel essentiel pour l’exposition Cucuteni de l’actuel Musée de l’Université. L’enseignement des disciplines d’histoire, y compris celles d’archéologie préhistorique, était limité, jusqu’environ 1964, par l’obligation d’utiliser les manuels et les travaux soviétiques, élaborés dans la vision d’un matérialisme historique de facture dogmatique. L’accent tombait sur les facteurs écono¬miques et sociaux, alors que les aspects spirituels étaient minimalisés. Cependant, du point de vue théorique, les professeurs d’archéologie, formés entre les deux guerres, ont utilisé de suite le paradigme culturel-historique, qui mettait l’accent sur la description rigoureuse des matériaux trouvés. Après le détachement partiel de la tutelle de l’Union Soviétique au milieu de la septième décennie, l’enseignement de la Préhistoire dans les universités a gagné un nouvel esprit, qui a permis aussi l’utilisation de quelques travaux de l’archéologie occidentale, d’abord les deux traductions en roumain des livres de Gordon Childe (Man make himself; What happened in History), qui ont consolidé le paradigme culturel-historique, en éliminant une série d’axiomes dogmatiques, reprises de la littérature soviétique. Dans cette conception, ont été aussi élaborés les deux manuels universitaires du professeur Petrescu-Dîmbovița. De même, la structure curriculaire a été partiellement modifiée, par l’apparition des groupes de spécialisation : ainsi, les étudiantes ont bénéficié, en plus des cours généraux, de cours et de séminaires spéciaux, qui leur a permis de travailler avec les sources historiques et d’apprendre des modalités de les interpréter. Par exemple, des cours et des séminaires avec thèmes de préhistoire (le néolithique de la Roumanie; la culture Cucuteni; la période de transition vers l’Âge du Bronze etc.) ont été introduits pour la groupe de spécialisation en Archéologie. À cause des relations scientifiques sporadiques et faibles avec l’Occident, les nouveautés théoriques du processualisme (New Archaeology) n’ont pas eu écho dans l’étude de la Préhistoire en Roumanie, ainsi que l’entendement des contextes dont ont résulté différents artéfacts et structures archéologiques a resté encore longtemps rien que des desiderata de la recherche archéologique roumaine. Dans cette situation, la théorie culturelle-historique, en dépit de ses limites, a eu le mérite d’apprendre aux étudiants dès lors que la présentation correcte et détaillée des situations archéologiques constatées sur le terrain et des matériaux résultés doit être à la base de quelques interprétations. Dans cet esprit ont été rédigés la plupart des rapports et monographies des archéologues de Iași, formés à l’école du Professeur Mircea Petrescu-Dîmbovița. Une attention de plus en plus augmentée a été accordée à l’implémentation dans la recherche archéologique des méthodes utilisées par d’autres sciences, afin d’élargir les possibilités d’interprétation des découvertes. Le large spectre des domaines et des personnalités scientifiques de l’Université de Iași a permis au professeur Petrescu-Dîmbovița d’entamer quelques collaborations interdisci¬plinaires, parmi lesquelles la plus fertile a été celle déroulée avec le collectif de zoologie et anthropologie, dirigé par professeur Olga Necrasov, créatrice d’une école de paléoanthropologie et archéozoologie à Iași. Ses disciples (Maria Cristescu, Sergiu Haimovici, Maria Știrbu, Dan Botezatu et d’autres) ont été, à leur tour, formateurs de la nouvelle génération des spécialistes, qui continuent aussi à présent cette collaboration bénéfique pour les deux parts. On peut dire les mêmes choses en ce qui concerne le domaine de l’archéobotanique, où la collaboration a commencé toujours à ce temps-là, surtout par les recherches de Felicia Monah et Marin Cârciumaru. D’autres collaborations pluridisciplinaires et interdisciplinaires ont été établies avec les Facultés de Géographie-Géologie (pour l’entendement du paléo-environnement et du rôle joué par les facteurs géographiques dans la vie des communautés préhistoriques) et de Physique (surtout concernant l’application de quelques méthodes de datation absolue, comme la thermoluminescence). Petrescu-Dîmbovița, en tant que fondateur (1961) et rédacteur en chef de la revue Arheologia Moldovei, a initié dans ses pages, à partir du no. XI (1987), la rubrique „Recherches interdisciplinaires” (qui apparaît toujours), pour la promotion de l’esprit interdisciplinaire dans l’activité archéologique. La manière interdisciplinaire d’enseignement de la Préhistoire a été aussi avancée dans des cours, même par un cours spécial dédié aux méthodes modernes dans l’archéologie (professeur Attila László). Après 1983, quand le professeur Mircea Petrescu-Dîmbovița a pris sa retraite (il est resté seulement professeur associé habilité à la direction de doctorat), les disciplines d’histoire ancienne et d’archéologie ont parcouru, jusqu’à l’année 1989, une voie descendante, en concordance avec la situation de la société roumaine de la dernière période du régime Ceaușescu. Comme partout dans l’enseignement supérieur roumain, l’embauchée de jeunes gradués et la promotion dans des universités a cessé et la spécialisation par doctorat a été réduite au minimum. Ainsi, après la retraite du professeur Marin Dinu (l’automne de l’année 1989), les disciplines d’histoire ancienne et d’archéologie restaient seulement en charge de deux professeurs (Attila László et Mihail Vasilescu), qui avaient le degré de lecteur/chargé de cours, bien qu’ils aient soutenu leur doctorat; des deux, seulement le premier avait des préoccupations archéologiques, y compris pour la Préhistoire. Les concours pour l’occupation de postes vacantes n’étant pas acceptés, le signataire de ces lignes a été transféré, au début de l’année universitaire 1989-1990, comme titulaire pour la discipline Histoire ancienne de la Roumanie. L’effondrement du régime communiste a déclenché de même, graduel¬lement, de profonds changements dans le domaine de l’enseignement et de la recherche archéologique à l’Université de Iași. Mais, cette chose se produira dans un nouveau cadre d’organisation et législatif, par l’implication de nouvelles personnes et à des dimensions multipliées et diversifiées, ce qui nécessite une présentation à part. En conclusion, l’étude de la Préhistoire à l’Université de Iași dans les années du régime communiste a été dominée par la personnalité du Professeur Mircea Petrescu-Dîmbovița, important représentant de l’archéologie de la Roumanie, créateur de l’école archéologique moderne à Iași et en Moldavie, qui a élevé, par son activité, la recherche archéologique de Iași à un haut niveau scientifique. Il a formé et a attiré dans la recherche archéologique des étudiants de mérite, créant une unité des forces impliquées dans le système de l’Université, de l’Académie et du Musée. En même temps, il a soutenu la recherche d’autres centres importants de Moldavie, en appuyant directement la formation de musées valeur et de quelques revues de spécialité à Piatra Neamț, Bacău, Suceava, Botoșani, Vaslui, Galați; la plupart des promoteurs locaux de ces musées ont été des archéologues et des historiens formés à l’Université de Iași. Ainsi, on a initié une manière de recherche, bien ajustée, capable, qui est restée efficace même après que Professeur Mircea Petrescu-Dîmbovița s’est retiré de l’activité didactique, et même après sa disparition.
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Dans l’hiver de l’année 1944, ayant en vue l’offensive de l’armée soviétique, les autorités ont ordonné l’évacuation du personnel et du patrimoine de l’Université de Iași en Transylvanie, dans le dép. d’Alba. Bien qu’officiellement a été aussi évacué le patrimoine du Musée d’Antiquité de l’Université, cependant à cause de bref délai, de l’absence des moyens adéquats d’emballage et des moyens de transport nécessaires, une partie des matériaux a été déposée dans le sous-sol de l’Université et une autre partie a restée dans le siège et dans la cour du Musée. Sur la situation du bâtiment du Musée et des matériaux y restés on relate par Mircea Petrescu-Dîmbovița (professeur d’avenir pour l’archéologie à l’Université de Iași), dans une lettre envoyée (le 11 juillet 1944), du front (près de Iași), vers Ion Nestor, son professeur à l’Université de Bucarest. En recevant une courte permission, M. Petrescu-Dîmbovița, qui se trouvait avec son régiment tout près de Iași, vient dans la ville, où il visite l’Université et le Musée, afin de constater les destructions provoquées par des bombardements. L’auteur de la lettre décrite les matériaux archéologiques par lui trouvés dans le bâtiment dévasté et fait une ébauche de quelques pièces (Pl. I). Les informations de cette lettre, de plus des documents d’archive, vient de compléter l’image concernant les vicissitudes subies par le Musée d’Antiquités de Iași dans la période du refuge des années 1944-1945.
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The article presents the history of the Chemistry school from the "Alexandru Ioan Cuza" University of Iasi in the communist and post-communist periods.
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Following the institution's timeline, the paper aims to present the museum activity carried out at the University of Iași since its foundations, with an emphasis of the existing collections and their exhibiting.
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La fondation d’une une école est un processus long et complexe, en dépendant de l’attitude de la société face à l’éducation, de l’existence des ressources financières, du contexte interne ou externe. C’est bien le cas de l’institution connue historiquement comme Gimnaziul Vasilian, la première „haute école” de Moldavie, avec l’enseignement dans la langue roumaine. Bien que, dans l’historiographie de cette période, on a établi, avec précision, la date de fondation, le 23 janvier 1828, les choses doivent être nuacées, pour que le phénomène soit compris dans toute sa complexité. Les premières approches pour l’ouverture de l’institution qui remplace l’Académie princière en langue grecque, dissoute en 1821, n’a pas démarré en 1827, mais au début de la troisième décennie du siècle. En 1825, fonctionnait déjà une école dans le monastère Trei Ierarhi, mais son fonctionnement a été interrompu par le feu de 1827. Toutefois, après un semestre, l’institution Gimnaziul Vasilian ouvre ses portes, progressivement, avec une classe débutante, ensuite avec une classe normale (1er février), et, en mars, une classe de lycée. En raison de la peste, du tremblement de terre et du départ de Gheorghe Asachi à Bucarest, l’école a été fermée presque’une année. Après la reprise des cours, on a introduit la première classe juridique, un cours de géométrie, plusieurs cours de langues étrangères (le grec, la russe et le français) et on a rédigé le Réglementation provisoire, de l’école. Lorsque l’école était en cours de faire grands progrès, une autre épidémie a éclaté, le choléra (février 1831), sans tout de même interrompre complètement les cours. Même si les premières années ont été marquées par de nombreuses syncopes, à cause des guerres, des épidémies, du manque de règlementations et de professeurs, les progrès sont rapides et visibles. Ainsi, l’école, qui fonctionnait jusqu’ici par le bon vouloir du prince, devient une institution publique au sens moderne.
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The present paper emphasizes that the early study of Prehistory at the University of Iași was subordinated to archaeology and anthropology. It gained a well-established status, as a science, quite late and with difficulty, breaking up with the natural sciences gradually, during the second half of the 19th century and the first decades of the 20th one. The study follows the objective and subjective causes of this situation, of prudent perception of the new science in the academic space. The author identifies three stages in the study of Prehistory at the University of Iaşi, by the end of the World War II: – the first stage (1894-1913) coincides with Teohari Antonescu’s professorship (1894-1910), followed by that of Octav Erbiceanu (1910- 1913); it was a period of theoretical approach of Prehistory, without field research. It is worth mentioning that in 1911, the first PhD thesis of Prehistory was held in Iaşi (by Ioan Andrieşescu, who later became professor at the University of Bucharest); – the second stage (1913-1939) was marked by Orest Tafrali’s professorship and his founding of the Antiquities Museum of the University; it was a more practical and less theoretical period, during which archaeological excavations in prehistoric sites were initiated; – the third stage, though a very short one (1939-1945), was dominated by the personality of Professor Radu Vulpe, and marked the scientific link between practical and theoretical aspects of approaching Prehistory as a particular field of research. Thus, a school of prehistoric archaeology was founded in Iaşi and the first bachelors of Prehistory graduated from it. These premises were fulfilled after 1950, under other historical conditions and with other promoters (among whom Professor Mircea Petrescu-Dîmboviţa distinguished himself as a particular personality).
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The article deals with the fate of Fr. Protopriest Colonel Bazyli Martysz, who was a chaplain in the armed forces of the Second Republic. Based on the archival sources, the Author discusses the successive stages of his pastoral ministry in the army. His life’s path as a soldier and priest is presented against the background of the political events that took place in the country at that time.
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The Orthodox-parochial education system in the Klejniki parish had a rich history. At those times, the educational system was above all for the benefit of the poor community. The Orthodox-parochial education in Klejniki was not on a particularly high level. In October 1884, 8 grammar schools were established within the parish of Klejniki. Towards the end of the 19th century, the parish had already 11 schools teaching 240 children. In the year 1893/1894, 6 boys from the Klejniki parish finished their education in the Orthodox teacher training college in Trześcianka-Stawek. A significant role in the organisation of the intellectual life and the development of Orthodox education in the countryside was played by the priest Jan Chlebcewicz. He was the founder of the Florenti Pawlenkow library and reading room. The financial burden, problems of accommodation for the teachers, an insufficient number of well qualified teachers, the poverty of the parents of the children attending the schools had a negative impact on the general state of the education in the Klejniki parish. The Orthodox education and school system contributed substantially to the eradication of illiteracy among the rural population. The First World War and the mass exodus into Russia were the immediate causes for the collapse of the library and reading room as well as all the schools in the parish of Klejniki.
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Article describes history of brotherhood’s school in Minsk in 16th-18th century, from beginnings of school located in castle’s church of the Most Holy Virgin Marry to situated in monastery of saints Peter and Paul. Together with activities of brotherhood’s school, was described activity of church’s brotherhood in wider range – struggle for preservation of identity against increasingly in force Union.
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In 1918, after the 120 years of occupation by three neighbouring powers, Austria, Prussia and Russia, Poland obtained its desired independence and returned on the map of Europe. Warsaw became the capital of the Republic once again. One of the authorities’ first moves was to resume the activities of the University of Warsaw that were disrupted by the war. We needed qualified staff who would rebuild the country. This concerned politics, administration, culture…, and the religious life of our homeland. For this purpose, the Faculty of Catholic Theology was established (1918), Faculty of Lutheran Theology (1922), and in 1925, the Faculty of Orthodox Studies was also opened. Throughout the 14 years of its existence up to the outbreak of the Second World War in 1939, the Faculty of Orthodox Studies faithfully fulfilled its mission of serving the Church, education and the homeland. It educated priests and theologians dedicated to the church and citizens committed to their homeland. Unfortunately, the process of building today’s well organized and extensive structure of higher (and secondary) Orthodox theological schooling in Poland was neither simple nor short lived. After the war, when the University of Warsaw refused the Faculty of Orthodox Studies the right to further operate, it turned into the Faculty of Orthodox Theology at the Christian Theological Academy to continue serving God, the Church and education. The Orthodox Theological Seminary in Warsaw experienced many changes and processes after the war in order to obtain its current shape and level. The Department of Orthodox Theology at the University of Białystok was established in 1999. It is a continuation and expansion of the theological education at the University of Warsaw. The Faculty of Orthodox Studies at the University of Warsaw, the Christian Theological Academy, the Orthodox Theological Seminary and the Department of Orthodox Theology at the University of Białystok, along with post-secondary studies in iconography and hymnography, as related academic and didactic units, have performed and still performs their tasks in serving education and the Orthodox Church. By mutually taking advantage of this experience (it should rather be said that taking advantage of the Faculty of Orthodox Studies at the University of Warsaw after the war), they fulfilled their expectations despite difficult times and unfavourable politics. They form a constantly developing spiritual and cultural common heritage of the Republic.
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Južno od Emone, današnje Ljubljane, na rubu velikoga barja i na sjeveroistočnom podnožju planine Krima, u blizini mjesta Iga našli su se brojni latinski natpisi iz rimskog vremena. Među osobnim imenima ko ja se na njima spominju znatan je udio onih koja ne pripadaju rimskoj onomastici. Velik dio tih natpisa nađen je u samom Igu, a drugi na uzvisini pod starim gradom, te u selima Mateni, Stajama pri Igu, Iskoj Vasi, Slrahomeru i Tomišlju. Kameni s antiékim natpisima prenosili su se iz Iga u Ljubljanu kao grada i tamo se nalaze uzidani u katedralu. Staro naselje iz kojega potjeću ti natpisi još se nije moglo pouzdano lokalizirati. Ali su svi ti natpisi nađem na tako ograndčenu prostoru da ne može biti sumnje da se i naselje tamo negdje moralo nalaziti. U starini je još neisušeno barje odvajalo to naselje kod Iga od velikih pro· rnetnih cesta koje su preko Emone spajale Italiju s Panonijom i Norikom. U toj svojoj zabiti bili su, medutim, njegovi stanovnici vrlo aktivni u gospodarskom živolu čitavoga kraja. Lijevali su željeznu rudu i lomili kamen. Kada su 14. n. e. Rimljani osnovali koloniju Emonu, pripalo je to naselje njezinu podrueju, ali je i dalje ostalo posebna opéina bez rimskog gradanskog prava. Na natpisu iz Iga ne javljaju se, naime, ranski gradani gotovo nikako, a i ono malo što se ipak mogu naéi jamaéno su bili doseljeni tuđinci. Kod domaćega stanovništva bez gradanskoga prava susreću se dosta često latinska imena. To su, uglavnom, ona ista koja su prihvatili domaći ljudi i drugdje u Noriku i Panoniji. Od tih imena su za Ig donekle karakteristična samo Maximus, Rusticus, Sabinus, Severus i Valens. U Igu se susreéu i takva latinska imena koja se cesto javljaju u Istri. Latinski elemenat u iškoj antroponiji nije, dakle. osebujan jer se ista imena javljaju kod starosjedilačkoga stanovništva i u susjednim pokrajinama. Domaéa osobna imena vrlo su različita od takvih imena u susjednom Noriku i Panoniji. Da bi se moglo što saznati i njihovoj pripadnosti, potrebno je izraditi popis svih domaéih iških imena i istražiti njiho vu rasprostranjenost da bi se utvrdile eventualne veze s veé poznatim imenskim područjima. To je u ovom članku i izvršeno sa svom potrebnom preciznošću. Na isti su nacin, zatim, obrađena domaéa imena iz Šmarate kod Loži. Veé je na prvi poglcd vidljivo cia se iška imena ne mogu tako lako uvrstiti u neko imensko područje kao ona iz šmarate. Ova poslednja pripadaju, naime, veéinom sjevernojadranskom imenskom podrueju, ili ostaju izolirana. U Igu pak ima također dosta sjevernojadranskih imena, ali su brojna i takva koja pripadaju velikom keltskom imenskom podrueju. Zato nije lako uvrstiti Ig u bilo koje poznalo imensko područje. I izolirana imena nisu u Igu malobrojna. Pri tome se postavlja osnovno pitanje da li sjevernojadranska ili. keltska imena pripadaju prvobitnoj iškoj antoponimiji. Veé prema tome kaiko se odgovori na to pitanje, zavisit ce onda i koja ce se imena smatrati tragom tuđeg utjecaja. Broj imena i imenskih skupina s keltskim ili sjevernojadranskim vezama ne može nam dati odgovor na to pitanje. Keltska su imena, dođuše, malo manje brojna, ali je ta razlika neznatna, a broj je keltskih imenskih skupina veci nego broj sjevernojadranskih. Bitno je, međutim, uočiti da postoji vrlo izrazita zavisnost između pripadnosti keltskom i sjevernojadranskom podrueju i broja potvrda pojedinih imena. O istome je zavisan broj imena u imenskim skupinama. Među izoliranim imenima sve se skupine osim jedne sastoje samo od jednoga imena (1:16). Medu keltskim skupinama ima veé više višeclanih (4:29), a kod sjeverojadranskih ih je veé skoro polovica (7:9). Te su ra ziike tako velike da ne mogu biti slučajne. Isto se tako može utvrditi da su izolirana imena najmanje frekventna, keltska frekventnija, a sjevernojadranska najfrekventija. Razlika izmed'u sjeverojadranskoga i keltskog udjela u iškoj onomastici nije, dakle, u broju imenskih skupïna i imena obiju pripadnosti nego u odnosu među brojem imena i brojem skupïna i u odnosu među brojem imena i brojem njihovih potvrda. Bitno će pri tome biti to da su sjeveriiojadranska imena bol je integrirana u skupine i češće potvrđena nego keltska. To vjerojat.no znaéi da su sjevernojadranska imena uže povezana sa sustavcxm domaoili osobnih imena u Igu nego što su to keltska. Zato sjevernojadranska imena treba smatrati prvobitnim i domaćim, a keltska posljedicom kasnïjih utjecaja iz vremena kad su galska plemena prodirala u istočne Alpe. Sjevernojadranska onomastika iz Iga ne može se pridružiti niti jednom od do sada poznatih podskupina toga podmčja. Bit ce. dakle, potrebno da se, bar zasada, računa s posebnim iškim potpodrucjem. Imena potvrđena na natpisima iz šmarate kod Loži pokazuju mnogo srodnosti s iškama, ali se od njih bitno razlikuju po glasovnim svojstvima i po imenskoj formuli. Ona se zato ne mogu bez rezerve priđružiti iškom potpodručju sjevernojadranskoga imenskog područja. Keltski dio iškili osobnih imena nije u sebi jedinstven. Pored imena koja se javljaju kod Kelta okolnih pokrajina ima i takvih koja se inače ne susreću u Noriku i Panoniji nego samo u Galiji i Britaniji. Potpodručja keltske onomastike ni su nam dobro poznata i zato ne možemo tu einjenicu potanje interpretirati. Ipak, možemo reći toliko da upravo spomenute osobenosti keltskoga dijela iške onomastike svjedoče vjerojatno o utjecaju što su ih na sjevernojaclranske stanovnike Iga izvršili Kelti druge neke grame a ne one koju kao Norike, Tauriske i Boje zatječemo u tim krajevima u najstarijim izvorima. Najverovatnije je da se tu radi o nekom starijem sloju keltskoga stanovništva u istočnim Alpama. Izolirana imena u Igu eine, po svojoj niskoj frekvenciji i po tome što među njima tako izrazito prevladavaju jednočlane imenske skupine, poseban razred imena s izrazitom fizionomijom. Te su statističke tendencije previše izrazite da bi mogle biti slueajne. Interpretirati ih, medutim, zasada ne možemo. Sve što se ovdje iznosi, rečeno je s mnogo opreza i velikom rezervom. Na svakom koraku treba raeunati s moguđim pogreškama. Ipak se konačni zaključci osnivaju na opažanjima kojih se ispravnost ne može dovesti u pitanje ako je interpretacija rasprostranjenosti kojega imena ili imenske skupine kriva. S toga rezultate ovoga istraživanja treba uzeti u obzir pri svakom razmišljanju o etničkim i jezičnim prilikama na sjeverozapadu antičkoga Balkana i u istočnim Alpama.
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Die Abhandlung ist einer Revision und neuerlichen Bearbeitung des osteologischen Materials aus den in der Zeit von 1892 bis 1897 ausgegrabenen Hügelgräbern des Gebietes vom Glasinac (Südostbosnien) gewidmet. Dieses Material wurde von A. Weisbach (mit L. Glück) veröffentlicht. Weisbachs Angaben fanden unter der Bezeichnung »Schädel vom Glasinac« in die europäische wissenschaftliche Literatur Eingang, wurden als Quellenangaben über die anthropologischen Eigenschaften des prähistorischen Bewohners dieses Gebietes behandelt und sehr oft als sichere Quellenangaben über die anthropologischen und Rasseneigenschaften der Illyrier überhaupt benützt45. Die Notwendigkeit, dieses Material zu überprüfen und erneut zu bearbeiten, entsprang den Bemühungen des Zentrums für balkanologische Forschungen, in sein Programm auch physisch-anthropologische Forschungen über die Urbewohner des Balkans einzubeziehen, weshalb das früher gesammelte und veröffentlichte Material dieser Art zunächst revidiert und zeitgemäß zu bearbeiten war. Die Verfasser stellten sich dabei folgende Aufgaben: 1) eine mögliche Beziehung der Urbewohner des Glasinacer Gebietes zu den Illyriern (im engeren und weiteren Sinne) im Lichte des heutigen Forschungsstandes in der Frage der Illyrier zu bestimmen; 2) die Authentizität und Brauchbarkeit des früher gesammelten und von Weisbach veröffentlichten osteologischen Materials aufgrund der von den Ausgrabungen zur Verfügung stehenden Angaben festzustellen; 3) das chronologisch verläßliche und brauchbare osteologische Material in der Anthropologischen Sammlung des Landesmuseums in Sarajevo auszusondern; 4) das solchermaßen ausgesonderte und identifizierte osteologische Material neuerlich zu bearbeiten und mit Hilfe moderner Methoden der physischen Anthropologie vorzulegen. Im ersten Teil der Arbeit bring B. Čović folgende Hauptergebnisse und Schlußfolgerungen: a) Die Bevölkerung, die in der Eisenzeit das Glasinacer Gebiet (sowie einige benachbarte Gegenden Montenegros und Südwestserbiens) besiedelte, gehörte höchstwahrscheinlich der Stammesgemeinschaft der Autariaten an. Vom Standpunkt antiker schriftlicher Quellen aus besteht kein Hindernis, diese Bevölkerung (sofern es sich um Autariaten handelt) als Illyrier (im weiteren Sinne des Wortes) zu betrachten. b) Es besteht eine außerordentliche Übereinstimmung in einer größeren Zahl von Manifestationen materieller und geistiger Kultur des Glasinacer Gebietes der Eisenzeit einerseits und des Gebietes um den Fluß Mati in Albanien (also eines illyrischen Gebietes par excellence) andrerseits; demnach können die Bewohner des Glasinacer Gebietes vom Standpunkt des archäologischen Materials der Eisenzeit aus als Illyrier (im weiteren Sinne) betrachtet werden8. c) Von den Untersuchungen im Glasinacer Gebiet waren in der Zeit von 1888 bis 1897 über 1200 Grabhügel erfaßt. In den Tumuli befindet sich selten je ein Grab, in der Mehrzahl der Fälle handelt es sich um 2,3 oder mehr Bestattungen, die derselben Periode, aber auch verschiedenen Perioden der Vorgeschichte (von der frühen Bronzezeit bis zum III. Jahrhundert v.u. Ztr.) entstammen können. Außerdem gab es in diesen Tumuli auch nachträgliche Bestattungen aus der Römerzeit (III. und IV. Jahrhundert n.u. Ztr.) wie auch Gräber aus dem Frühund Spätmittelalter. Da ein großer Prozentsatz von Gräbern auch ohne Beigaben ist, wird klar, daß sich von solchen Gräbern nur eine kleine Zahl datieren läßt, und zwar entweder aufgrund der stratigraphischen Lage oder aufgrund der Form der Grabkonstruktion, während der überwiegende Teil der Gräber ohne Beigaben nicht datierbar ist. Das osteologische Material aus solchen Gräbern ist unzuverlässig, weil es einer beliebigen Periode der Vorgeschichte, der Römerzeit oder dem Mittelalter angehören kann und für Schlußfolgerungen über anthropologische Eigenschaften der Urbewohner dieses Gebietes keinen Wert besitzt. d) Die oben genannten Tatsachen wurden von den Forschern, ganz besonders von A. Weisbach, außer Acht gelassen; außerdem entbehrte die Manipulation mit dem osteologischen Material der nötigen Aufmerksamkeit, so daß für die Mehrzahl der in die anthropologische Sammlung gelangten Schädel keine Angaben darüber vorhanden sind, aus welchem Grabe sie stammen (angeführt ist nur die Nummer des Tumulus, nicht aber diejenige des Grabes im Tumulus). e) In seinen endgültigen Schlußfolgerungen hat Weisbach den Zusammenhang zwischen dem archäologischen und anthropologischen Material völlig vernachlässigt und hat seine Schlüsse nur aus den anthropologischen Eigenschaften der untersuchten Schädel gezogen. So unterscheidet er eine Gruppe »alter Brachyzephalen«, die er den Illyriern zuschreibt, eine Gruppe von »Dolichozephalen«, die er den Römern zuweist, und eine Gruppe »jüngerer Brachyzephalen«, die er zu den Slawen zählt, ohne überhaupt zu berücksichtigen, was für archäologisches Material neben den Schädeln, die er jeweils in eine dieser Gruppen einordnete, gefunden worden war44. Noch größere Fehler begingen die Autoren, die Weisbachs Angaben übernahmen, dabei aber das gesamte, von Weisbach veröffentlichte Material den »Glasinacer Illyriern « zuschrieben und von da aus noch weitreichendere Schlußfolgerungen über die anthropologischen und rassischen Eigenschaften der Illyrier überhaupt zogen45. f) Es war deshalb nötig, alle verfügbaren Angaben über die Tumuli und einzelnen Gräber, aus denen das gesammelte osteologische Material stammt, sorgfältig zu überprüfen. Die Revision zeigte, daß von insgesamt 63 Schädeln des Glasinacer Gebietes, die Weisbach bearbeitet hatte, nur 21 ganz sicher oder mit großer Wahrscheinlichkeit prähistorischen Bewohnern dieses Gebietes zugeschrieben werden können. Außer diesen gewissermaßen verläßlichen 21 können noch 3 Schädel bestimmt werden. Von den übrigen 39 entstammt einer der Römerzeit, zwei sind mit Sicherheit mittelalterlich, 5 wahrscheinlich mittelalterlich und 31 Exemplare (beinahe 50%) sind chronologisch nicht zu bestimmen und daher unbrauchbar. Solch ein Ergebnis zeigt allein schon, wie unzuverlässig die aufgrund Weisbachscher Arbeiten gezogenen Schlüsse über die anthropologischen und rassischen Eigenschaften der prähistorischen Bewohner dieses Gebietes sind. g) Von 21 (bzw. 24) sichereren Exemplaren konnten zur anthropometrischen Bearbeitung und Analyse nur 18 herangezogen werden. Die übrigen Exemplare mußte man beiseite lassen, teils wegen ihrer schlechten Erhaltung, teils deshalb, weil sie nach dem Inventar det Anthropologischen Sammlung nicht mit Sicherheit identifizierbar waren.
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Les toponymes sont beaucoup plus durables et constants que les anthraponymes et les autres mots. Ils demeurent même après la disparition d’un peuple et de sa langue, c'est-à-dire même lorsqu'ils deviennent incompréhensibles. C’est le cas des noms de localité sémantiquement proches de Ad Fines, Equoranda et Kobiljača (Konjsko). La toponymie A ri Fines (Ad Finem, Ad Fine, Finibus) est très répandue sur les voies de communication romaines. Elle apparaît plus de vingt fois sur l’itinéraire d’Antonin, et plus fréquemment encore sur la Tabula; et ce qui est significatif, très souvent également en des endroits qui ne se trouvent pas aux confins d'une province. C’est le cas par exemple entre Naissus et le rei ai de Vietano (Tab. Peut.), puis entre Skoplje (S cu p i) et Stoibi (Tab. Peut). Dans les deux cas le terme A d Fines est un toponymie frontalier, bien qu'il ne désigne toujours pas une limite de province. Il s’agit visiblement d’un vestige de l'époque préromaine. Il en va de même pour la station Ad Fines — à 20 milles à l'ouest de Sisak sur la voie Emona-Siscia (Tab. Peut. V— V I ), souvent identifiée, par erreur avec Topuski. En fait, les trois dernières stations avant Siscia (Romula, Quadrata et A d Fines) sont communes aux voies Emona-Siscia (Tab. Peut.) et Senia-Siscia (Itin. Ant. 274, 4— 6). I l s'agit sans aucun doute ici d’une erreur d’itinéraire et d’une contamination des données des deux voies de communication, celle qui suit la vallée de la Save (Tab. Peut.) et celle qui traverse la Lika (Itin. Ant.). La station Ad Fines appartient donc à la route Emona-Siscia, et elle ne pouvait se trouver à la frontière de la province; il faut par conséquent la situer dans les environs de Vel. Gorica, c’est-à-dire à la limite du territoire de Colapiarai ou de Yareiani et d ’Andautania (Andautonienses). Le relai A d Fines — à 16 milles au sud de Servütium sur la Save (Tab. Peut.) marque elle aussi la limite des territoires de deux tribus, dans ce cas les Oseriates et vraisemblablement des Maezeâ. Ici également il s’agit dons encore d’un vestige de la période préramaine, et la toponymie Ad Fines n’est pas autre chose que le qualque latin du toponyme épichorique. La meilleure explication du terme A d Fines est fournie par l’analogie avec la Gaule, où l'on trouve fréquemment sur les voies antiques le toponyme Equoranda (Equaranda), avec ses reflets en français moderne: Ingrande, Eygurande, Ivrande, Arando , Avarande, etc. Le toponyme Equoranda est un terme composé dont la seconde partie signifie »frontière«, alors que dans la première nous retrouvons le mot »cheval« — autrement dit »relai de chevaux frontalier«, exprimé en latin par Fines, etc. Par conséquent nos propres toponymes Àd Fines ont le sens de »frontière«, »poste frontalier«, et peut-être aussi de »relai de chevaux frontalier«, tout comme le toponyme gaulois Equoranda. Selon l'auteur, parmi les toponymes sémantiquement proches il faut également ranger les noms de lieux slaves du type Kobilj, Kobilje, Kobiljača, etc, et leur toponymes semblables Konjska, Konjsko, qui sont d’origine slave primitive. De tels toponymes désignent le plus souvent les points frontaliers caractéristiques (oronymes), qui, à une époque indéterminée du passé, ont pu jouer un role de poste frontalier, et même de frontière. Ces noms servent parfois à désigner aussi des cours d’eau, comme c’est aussi le cas d’Equaranda en Gaule et de ses reflets en français moderne. Il est certain que le cheval, en tant qu’animal domestique, avait aussi chez les Slaves la même signification que chez les Celtes, les Illyriens et autres Indoeuropéens, non seulement pour son utilité quotidienne (pour la guerre et le transport), mais aussi et tant qu'animal magique, survivance peut-être d’une société de clan, et d'un totem.(?) Les peuples anciens croyaient que les os d’animaux possédaient une valeur magique, et ils en plaçaient à l’endroit des limites et dans les terres ensemencées comme une sorte de protection. Cependant la formation des toponymes du type Kobiljača, etc, peut avoir été influencée par les facteurs dont il a déjà été question à propos des toponymes Equorandaen Gaule et Ad Fines le long des routes antiques, aux endroits où l’on passait d’un territoire dans un autre, d’une région dans une autre. L’étude de vestiges de ce genre peut grandement nous aider à résoudre les problèmes topographiques (en premier lieu), ainsi que des questions diverses du domaine de la préhistoire et de la protohistoire, tout comme l’étude du toponyme Equoranda a permis de mieux connaître l’ethnographie de la Gaule préromaine qui — comme l’Illyrie — était morcelée en de nombreuses cités.
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Dosadašnje diskusije posvećene ranoj praistoriji Đerdapske klisure bavile su se prvenstveno pitanjem postanka i razvoja mezolita (epipaleolita), ovog, prema svojim prirodnim uslovima, izdvojenog geografskog područja. Suočen sa no vim oblicima materijalne kulture mezolitskog perioda Klisure, stariji neoiit Đerdapa (tipa Starčevo — Cris) desto je prosuđivan samo sa stanovišta već dobro poznatih tipoloških kategorija, kao šlo su keramika, sistemi dekorisanja ill oruđa od glačanog kamena. Pri tome se pokazalo da osnovna teškoća u uspostavljanju relativno hronološkog sistema mezolita i starijeg neolita na području Đerdapa leži u određivanju prirode njihovog međusobnog kontakta. To je pitanje biio značajno i iz hronoloških razloga, jer se radi o dva sukcesivna perioda, tako da je njihov dodir razumljiv i očekivan. Uopšte uzevši, ključno rešenje relativnog hronološkog odnosa između mezolita i starijeg neolita na području Đerdapa leži u tačnom stratigrafskom opredeljenju stambenih horizonata sa trapezoidnim poluzemunicama na naseljima Gornje Klisure, Lepenskom Viru, čiji je centralni karakter nesumljiv, i Padini, koja takođe sadrži objekte ovog tipa. Prihvatajući stratigrafsku činjenicu ustanovljenu na Padini: da su poluzemunice sa trapezoidnom osnovnom ukopavane iz keramičkog horizonta starijeg neolita, moguée je iznaéi zadovolavajuce odgovore za relativnu hronološku skalu ovih naselja. Ukratko rečeno, takvo gledište podrazumeva da lokalni arhitektonski oblici, sa svim svojim osobenim detaljima (konstrukcije ognjišta, ugrađivanje žrtvenika), pripadaju starijem neolitu Đerdapa, kao posebno formiranoj varijanti kompleksa Starčevo — Cris. Ta varijanta je nastala, ukratko formulisano, na osnovi populacionih i kulturnih sažimanja tokom finalne etape mezolita i početka starijeg neolita, ograničenih na uski prostor Klisure. Ovom prilikom treba takođe uzeti u obzir još jednu vrstu podataka, do sada upotrebljavanih u manjoj meri, — to su oni koji su dobijeni antropološkim analizama. Među poslednje takve rezultate dolaze ispitivanja skeletnog materijala sa lokaliteta Padina u Gomjem Đerdapu, koji potiče iz grobova otkrivenih u mezolitskom i starijem neolitskom naselju. Najvažnija činjenica dobijena ovim ispitivanjem jeste ista rasna pripadnost nosilaca mezolita i starijeg neolita Padine. Pri tome treba naglasiti da se ostaci oba perioda na pojedinim sektorima lokaliteta nalaze u neposrednoj vertikalnoj stratigrafiji, što su potvrdili i odgovarajući stambeni objekti. Pokazalo se takođe da je sloj mezolitskog perioda srazmerno siromašniji i verovatno kratkotrajniji. Sudeći prema rezultatima navedenih antropoloških analiza pored onili dobijenih sa mezolitskih i starijih neolitskih nekropola u Đerdapu, procès obrazovanja najstarijih stočarskih i zemljoradničkih naselja tekao je uz aktivno učešće đomorodačkog mezolitskog supstrata. Ali, ako je sličan mehanizam nastajanja starijeg neolita jugoistočne Evrope već u osnovnim crtama poznat, tada odgovarajući procès koji se ođvijao u zatvorenoj sredini Đerdapa pruža i druge zanimljive zaključke. Tako, npr. očevidno je da auLohtona populacija tokom svog dugotrajnog razvitka od mlađeg paleolita do finalnog mezolita nije dostigla viši proizvodni stupanj od onog ograničenog na lov i ribolov, uz sistematsko prikupljanje biljne hrane, iako je tu postignut visok stepen specijalizacije. Može se čak pretpostaviti da izvesni počeci upotrebe cerealija, kao i moguće usmereno iskorišćavanje mladih životinja, onih istih vrsta koje su i lovljene, predstavijaju rezultate uticaja iz susednih oblasti gde prve zemljoradničko-stočarske zajednice već postoje. Nije stoga slučajno da najvažnije podatke za završnu specijalizaciju mezolitske ekonomike pruža upravo naselje Schela Cladovei, situirano, tačnije rečeno, izvan Klisure, zapravo na saraoj ivici plodnih ravnica Oltenije i Ključa. Dolazak i trajan boravak populacija najstarijih zemljoradnika i stočara grupe Starčevo—Cris u Đerdap, čija su naselja unutar Klisure isto tako brojna i poklapaju se, po pravilu, sa prethodnim, mczolitskim, prouzrokovali su stoga stvaranje ekonomike mešovitog tipa, u kojoj tradicinalni lov i ribolov igraju i đalje značajnu ulogu. Antropološke analize skeleta sa mezolitske i starije neolitske nekropole na Padini ukazuju, međutim, na no vu mogućnost u rešavanju postanka starijeg neolita u Đerdapu. Tu zapravo dolazi u obzir činjenica da materijalna kultura tipa Stareevo—-Cris, veoma jasno zastupljena na Padini sa stambenim horizontima, keramikom i tipičnim oruđem i oružjem, ne mora da bude povezana sa graciinom, mediteranskom populacijom, kao njenim isključivim nosiocem. Dmgim rečima, složeni procès sažimanja i adaptacije ove clvc populacije, autohtone i migracione, nije se sastojao samo u tome da starosedeoci budu u potpunosti asimilirani, već ,obmuto, da se oni u ceiosti adaptiraju novom načinu privređivanja. Nije ni potrebno naglašavati da je osnovni razlog za prihvatanje te nove ekonomike ležao u produktivnijem i efikasnijem privređivanju. Domorodačke tradicije, s druge strane, prilagođene u toku duge specijalizacije posebnoj prirodnoj sredini Đerdapa, unete su takođe u tek obrazovanu stariju neolitsku ekonomiku u onom obimu koliko su koristile novom načinu proizvodnje. Najzad, lov i ribolov nikada i nisu prestali da budu značajne privredne grane tokom praistorije, pa je razumljivo da su to os tale u Đerdapu i tokom starijeg neolita, saglasno jedinstvenim prirodnim uslovima koji su tu postojali. Posmatran sa takvog stanovišta, stariji neolit u Đerđapu, ispoljen u svojoj posebnoj formi jedino u Gornjoj Klisuri (sistematski izgrađena naselja Lepenski Vir i Padina), rezultat je ne samo populacionog sažimanja Mi asimilacije, već isto tako i stvaranja nove, mešovite lovačko- -stočarske i agrikulturne ekonomike. Primenjen u širim okvirima, princip populacionog sastava kao osnovnog nosioca tipološkog razvoja materijalne kulture u starijem neolitu jugoistočne Evrope pomogao bi u otklanjanju pojedinih hronoloških dilema. Ukoliko, na primer, skeletni materijal iz nekog starijeg neolitskog naselja potvrđuje prisustvo dva posebna antropološka tipa, slično situaciji u Đerdapu, tada je vrlo verovatno da može doći i do tipološke razlike odgovarajućih nalaza, I dalje, ako taj različiti tipološki stepen nije dokazan vertikalnom stratigrafijom, tada on nije oznaka starije i mlađe faze — što naročito važi za poređenje razlićitih lokaliteta — već je neposredna posledica nejednakog populacionog sastava. Takvo izvođenje porekla starijeg neolita u Đerdapu i objašnjenje načina njegovog obrazovanja postavljeni su ovde kao mogućnosti, ali i kao mogućnosti zasnovane na dosadašnjim antropološkim analizama. Ukoliko se tačnost zaključka o zavisnosti materijalne kulture od populacionog sastava u starijem neolitu balkansko-podunavske oblasti bude potvrdila, tada će biti u znatnoj meri olakšano i rešavanje ostalih složenih relativnih hronoloških pitanja, kao što je postanak posebnih grupa ili varijanata ovog perioda.
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En 1974 et 1975 le Centre d’études balkaniques de l’Académie des sciences et des arts de Bosnie-Herzégovine a entrepris des recherches de révision des tumulus de Glasinac ayant pour but d’enrichir la conception antérieure sur la forme, la sorte et la structure des tumulus de cette région. On a prêté l’attention particulière au ramassage des matériaux anthropologiques. Exceptant quelques crânes, ces matériaux n’ont pas été pris en considération. Se basant sur les résultats des reconnaissances et des fouilles, on a essayé de rédiger les conceptions antérieures sur le nombre de tumulus à Glasinac, pour qu’on puisse établir leur nombre réel et l’état des recherches. On a fait des fouilles dans la région du village Kusače, sur le mont Zmijnica et aussi à Podilijak près de Sjeversko. On a fait des recherches des 19 tumulus sur ces localités. On peut distinguer plusieurs catégories de tumulus: a) Le tumulus C à Podilijak près de Sjeversko appartient au groupe avec la forme plus développée de grands tumulus en terre, qui ont existé dans la région illyrienne pendant l’âge de fer. Dans le cadre de ce tumulus, dont les dimensions sont 14,60X13,30X1,50 m, on a découvert 9 tombes avec 14 squelettes (v. 2). Dans la partie centrale est située la tombe la plus ancienne dans la construction en pierre en forme circulaire (v. 2, T. VI, 2—4). Les autres tombes sont situées dans le remblai en terre, formant une sorte de cercle irrégulier autour de la tombe centrale. Toutes les tombes sont avec les squelettes, exceptant la tombe 5 dans laquelle ont été trouvés les os brûlés. Le remblai en terre est découvert par une couche compacte des dalles en pierre avec une couche de humus récent. Les tombes périphériques ont eu la construction quadrangulaire des blocs en pierre et ont été découvertes par les dalles et les pierres grossières. Le plus grand nombre de tombes a eu des matériaux (T. III, IV). L,enterrement dans cette région a eu deux phases. A la première phase appartiennent les tombes 1,2 et 7. C’est le milieu de l’âge de fer ancienne dans la région de Glasinac (Glasinac IV b), l’époque entre les années 750 et 625 d’après A. Benac et B. čović. Dans la deuxième phase sôiït situées les tombes 3, 4, 5 et probablement 6 et 8. Dans la région de Glasinac e’est l’âge de fer récent (Glasinac V), ce que correspond à l’époque entre les années 500 et 250. b) Le tumulus dans la cour de M. šuka à Kusaëe est construit des tas de pierres et de terre et il a eu les dimensions [suivantes: 9,20X8,20X0,65 m. Dans le centre est située une tombe à squelette renfermant les matériaux archéologiques, mais sans construction tombale (T. II, 1—3, T. V, 2—3). Les matériaux correspondent au début de l’âge de bronze récent dans cette région (Glasinac III a), c’est-à-dire le XIII« siècle av. n. è). c) Les tumulus III et V (dimensions T. III 10,60X8,40X0,50 m, T. V 8,30X7,90X0,50 m) de la nécropole située sur le mont près de Kusaëe (V. 1) sont formés des tas de pierres et de terre. Dans ces tumulus découvertes les parties répendues des squelettes humaines sans matériaux archéologiques et sans construction tombale. Sur tout l’espace de tumulus on a constaté les nombreux fragments de céramique (T. I, 3—6, T. II, 4—6). Peut-être qu’il s’agit ici des défunts secondairement inhumés et il n’est pas exclu que les parties du squelette sont par le temps pourries. En tout cas, ces tumulus sont l’exemple d’un rite funéraire très pauvre et" négligent. d) Les amas I et VII de cette nécropole sont de la même structure que les tumulus cités auparavant. Les dimensions de l’amas I sont les suivantes: le diamètre 5,60 m et l’hauteur 0,80 m, et de l’amas Vil 6,60X3,30X0,50 m. On y a constaté les nombreux fragments céramiques, mais il n’y a aucune trace des os humains, ce que signifie qu’il n’y avait pas d’enterrement. Les nombreux fragments de céramique et des os d’animaux témoignent qu’ un rite funéraire y a été exécute et on peut supposer que ces tumulus représentent une sorte de cénotaphe de Glasinac. Ces tumulus, ainsi que les autres précédents, peuvent être datés se basant sur quelques fragments de céramique dans le cadre de l’âge de bronze récent (Glasinac III, c’est-à-dire entre les années 1300 et 800 av. n. è.). e) Dans la cadre de la nécropole au-dessus de Kusaëe on a découvert des tumulus tout à-fait stériles, qui correspondent par leurs dimensions et leur structure aux tumulus voisins. Ce sont les tumulus VI, VIII et IX. Il est peu probable que les os et les autres matériaux se sont complètement décomposés, parce que dans les tumulus qui se trouvent aux environs Immédiats on a découvert les os et les fragments céramiques. Le fait que ces tumulus se trouvent dans le cadre de la nécropole démontre la possibilité qu’ils ont eu, eux aussi, un certain rôle ayant rapport au culte d’enterrement. f) Les fouilles et la reconnaissance ont montré que sur la région de Glasinac se trouve un grand nombre de tumulus isolés ou en groupe, sans aucuns matériaux. Ce cont les tumulus récents, formés par le rassemblement des pierres dans le but de débarrasser le terrain pour le labourage ou le pâturage. Ce sont les tumulus à Zmijnica et dans la plaine près de Kusače (T. V, 4—6). Alors, on peut poser la question si les suppositions sur le nombre de tumulus à Glasinac, faites auparavant, sont vraiment réelles. Les anciens chercheurs ont déjà rejeté le nombre de 100.000 tumulus que Ć. Truhelka a supposé. Au début de ses recherches à Glasinac, F. Fiala a estimé que vers 20.000 tumulus se trouvent dans cette région. Après une expérience de six ans il a pu conclure que c’est un nombre exagéré et qu’il doit être diminué. Les recherches les plus récentes affirment cette constatation. Le plus grand nombre de tas de pierres est devenu par le ramassage des pierres, tandis que les tumulus sont concentrés autour des agglomérations dites gradinas. Une bonne partie de cette région est recherchée à la fin du dernier siècle, et il semble qu’il existe dans la région de Glasinac encore vers 2.000 tumulus qui ne sont pas recherchés.
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Der Friedhof Raška Gora — Stećci befindet sich auf einer Hochebene, die ungefähr 40 Meter Breite und 50 Meter Länge hat. Sie liegt an dem. rechten Ufer des Flusses Neretva, etwa 30 Kilometer nördlich von Mostar und 110 Meter über den Meeresspiegel, Das regionale In s t itut für den Beschutzung der Kulturdenkmähler aus Mostar hat, wegen der Gefährung dieses Gebietes durch den Bau der Hydrozentrale Grabovica, systematische Ausgrabungen dureheführt. Während der zweimonatlichen Ausgrabungen wurden im. Juni und August 1977. insgesamt, 109 Gräber mit inhumierten Skelette ausgegraben. Die Gräber, bzw. Skelette, sind noch während den Ausgrabungen mit wechselständigen Ordnungszahlen von 2 bis 108 bezeichnet. Die Ausnahmen sind die Gräber ,Ni. 10/a und N°. 15/a, die ebenfalls zu der genanten Summe dehören. Das Grab N°. 1 ist noch vor dem .Anfang der Ausgrabungen erforscht, da es mit der Eingrabung eines elektrischen Pfahls gefärdet war, doch sein Skelett wurde nicht bewahrt. Das Grab JS1>. 30 ist rezent. In diesem; Grabe wurde um das Jahr 1900. eine Ertrinkene aus Neretva beerdigt, so dass es mit dieser anthropologischer Analyse nicht umfasst ist. Daher ist -die anthropologische Analyse auf 108 Skelette beschränkt. Sie ist im Oktober 1977 v erö ffen tlicht. Auf Grund des archäologischen Befundes aus den Gräbern, der sehr spärlich ist, kann man nicht eine zuverlässige Datierung des Friedhofes Kaska Gora — Stećci ausführen. Nach der mündlicher Mitteilung des Leiters der Ausgrabungen wurden nur im Grab einer Frau (.V·. 68) Ohrringe, gefunden, die chronologisch sehr weit datiren. Auf Grund der Typologie der Grabsteine und anbetracht der Tatsache, dass am meisten amorphe und bearbeitete Steinplatten vorhanden sind, wäre dieser Friedhof nicht älter als M itte des XIV Jahrhunderts, nach der chronologischer Übersicht die P. Anđelić ausgeführt hat. Als Anfang der Begrabungen nach demselben Kriterium, könnte man den Anfang des XIII Jahrhunderts bezeichnen. Dass würde bedeuten, dass der Friedhof etwa 150 Jahre in Gebrauch war. Für die Datierung dieses Friedhofes mit den chemisch-physischen Methoden und Analysen des Knocheninhaltes, z, B. mit der Nytrogen und Fluor Methode, bestand keine Möglichkeit. Ebenfalls bestand keine Möglichkeit für die Blutgruppenanalyse mit den entsprechenden, serologischen Methoden. Alle 108 Gräber, die mit dieser anthropologischen Analyse umfasst wurden, sind an dem A nfan g des illustrativen Teils dieser Arbeit auf dem Plan des Friedhofes dargestellt. Auf Grund einer der wichtigsten. Faktoren — des Längen-Breite- Index des Schädels (Martin ,N.), müssen wir die Population aus dem Friedhof Baška Gora — Stećci in den Kreis der kurzköpfigen Bevölkerung einreihen (siehe die statistische Tabelle im Text). Die morphologische Elemente, an erster Stelle die ausgeprägte Planoccipitalie, bestimmen diese Population als anthropologischen Dinaridentyp, und trennen sie von dem Alpinentyp und den Resten der Glockenbecker Population (sogenante Tauriden Rasse) — den brachykranen Typen, aber ohne Planoecipitalien, die ebenfalls hoher und kurzer Schädel karakterisiert, aber mit rundlicher Form. Auf den Unterschied zwischen dem Dinaridentyp und diesen zwei anthropologischen Typen neben dem Nord-Kaukasischen, ebenfalls brachykranen Schädeltyp, werden wir uns ausfürlich in einer getrennter Arbeit widmen. Nach der Aussonderung die inerhalb des Kreises der brachykranen Tupen der Bevöhkerung ausgeführt ist, erfolgt die sierung der anderen Schädelindexen und morphologischen Karakteristiken. Der genannte Längen-Breite Indeä des Schädels (8/1) ist brachykran. Die Ohrendhöhe und die Schädelbreite (20/8) ist metriokran. Das Obere-Gesicht Index (48/45) ist eurion. Der Längen-Höhe Index des Schädels (17/1) hat hypsikrane Wertungen. Der Transversal- Frontoparietaler Index ist eurimetop. Der Augenhöle Index ist mesokonh und der Index der Nasenhöle hat mesorrhine Wertungen. Der Jugomandibularer Index hat die Wertungen des mittelschmalen Gesichtes. Der Breiten-Höle Index des Schädels (17/8) Ist metriokran, während der Ohrenhöhe Index (20/1) hypsikran ist. Frontomandibularer Index (66/9) hat eurimandibulare Wertungen. So wie die anthropologische Wariationen gezeigt haben, in der seitlicher Projektion (norma lateralis), die Schädel sind kurz und hoch, mit hoch erhobener Glabele und hocher Nasenwurzel. Die Stirnlinie ist steil und bricht jäh im kurzen und flachen Schädeldach. Die Profillinie senkt sich weiter fast vertikal zu der Schädelbasis, die kurz und flach ist, meistens fast horizontal. Das Gesicht ist flach und endet fast obligatorisch mit stark gebautem Kiefer, wobei angulus mandibule ausgeprägt ist. Bei weiblichen Schädeln in dieser Projektion merkt man grössere Länge des Schädeldachs und der Schädelbasis. In der okcipltalen Projektion (norma occipitalis) weiblicher und männlicher Schädel unterscheiden sie sich nur an der Robustizität, und die Form entspricht meistens der breiten und kurzen Bombenform. Die Gesichtsprojektion (norma facialis) zeigt wieder morphologische Geschlechtsunterscheide. Bei den Männern hat das Gesicht robusten Bau mit ausgeprägt zygomatischer Breite, und die Fläche der zygomatischer Knochen ist auch sehr gross. Bei dieser Projektion kommen anguli mandibulae zum Vorschein und die Kinnspitze ist wesentlich stumpf und erweist an eine archaische Form (in dem ilustrativen Teil der Arbeit, männliche Schädel N» 9, 35, 42 und 105). Nebst der bedingten Geschlechtsunterscheide sind die weiblichen Gesichtsknochen nicht robust (Schädel Μ·. 8), sondern haben bei einigen Fällen höheren Lebensalter pedamorphe Karakteristiken (Schädel Ns. 16). Die Schädelprojektion norma verticalis hat eine übergangsform zwischen den kurzen Pentagonoid und den Romboid der breiten Stirn, von der nur selten Schädel abstechen. Auf den Postkranialen Skelett sind 4 Indexe ausgerechnet, die volgende Resultate gaben: der Femur-Index 8/1 hat den Wert 20,26 und der Humerus Index 7/1 hat den Wert 21,71. Der Index der Skelettpopulationen, d. h. der Extremiteten Index, hat den Wert 68,20 und der tibio- -radialer Index hat den Wert 64,27. Die Robustizität des postcranialischen Skeletts zeigt nicht besonders ausgeprägte Geschlechtsunterschiede, abgesehen von den Unterschieden in der Konstitution, die durch des Geschlecht bedingt sind. Diese Unterschiede zeigen sich mehr in der Morphologie der Schädelstrukture. Die geschleehts-morphologischer Unterscheide, die in der Beschreibung einiger Sehädelpr ojektion genannt sind, können auch mit den Wertungen einiger Schädelindexe bestätigt werden. So hat z. B. der jugomandibulare Index bei dem männlichen Geschlecht den Wert des mittelschmalen Gesichts (79,25), und bei den weiblichen Geschlecht der Wert entspricht dem schmalen Gesicht (74,71). Der Breiten-Höhe- Index des Schädels bei dem männlichen Geschlecht hat den Wert des Oktokranen Typ (98,38), und bei dem weiblichen Geschlecht dieser Index ist metriokran (95,67). Der Nazal Index bei dem männlichen Geschlecht ist mesorrhin (49,75) und bei dem weiblichen hat er niedrige Werte des kamerrhin Type (51,27). Der Pronto-mandibularer den Index zeigt ebenso Verschiedenenheiten zwischen Geschlechten ; bei dem männlichen ist er ien eurimandibular (108,77), und bei dem weiblichen mesomandibularer Typ (101,99). Anbetracht der Tatsache, dass alle metrische Werte, die einerseits und andererseits geschlechtlich unterschiedlich sind und sich in den Grenzen eines signifikanten Interwales der Auswertung befinden, Si = M ± 2S = 90% oder 0,1 kann man über eine Homogenität inerhalb der antropologische Serie aus dem mittelalterlichen Friedhof Raška Gora — Stećei schliessen. Den rezenten Dinariden-Typ hat I. Schwidetzky mit folgenden Charakteristiken beschrieben: »Hochwüchsig, schlank und hager ; Haare und Augen braun, Haut mittelhel, kurzer, hoher Kopf mit oft steilem Hinterhaupt, hohes, unten schmales Gesicht mit sehr hoher hakiger Nase; hohes kräftiges Kinn«. Die Dinariden aus dem mittelalterlichem Friedhof Raška Gora — Stećei, mit ihrer groben Gesichtsmorphologie, dem grossen Zwischenraum zwischen den Ecken der Mandibulae und mit der vorgeschobener Kinnspitze sind nur in diesem Elementen von den rezenten Dinariden unterschieden, was man vorwiegend als die chronologische Variabilität dieses anthropologischen Typs interpretieren soll. Die Befunde der pathologischen Spuren sind in folgende 11 Kategorien eingeordnet: Zahn Caries (bei 18 Individuen), die Spondilose der Wirbel (10 Individuen), Periodontitis periapicalis chronica granulomatosa (8 Individuen), Ostheoporosa senilis (5 Individuen), Artritis def. (4 Individuen), Spuren von Schlägen und änlichen Verletzungen (4 Individuen) , verschiedene Brüche der langen Knochen — status post fracturam (bei 2 Individuen), extreme Ablagerung des Kalks auf allen Zähnen (bei 2 Individuen). Von Ankilose der Falangen leidete nur ein Individuum, von Rachitis ebenfalls ein Individuum, so wie von Cystae glabullo-maxilaris. Einige von den aufgezählten Fällen sind in dem illustrativen Teil dieser Arbeit dargestellt. Spuren von Waffenverletzungen sind auf den Skeletten oder Schädeln dieser anthropologischer Serie nicht festgestellt. Ebenfalls nicht Schädel deformationen (Asymétrie u. a.), wie auch andere Entwicklungsanomalien. Die Bewohner, die an dem Friedhof Raška Gora — Stećei beerdigt sind, kannten und benötigten die Teihnik des Zahnausreissens intra vitam, aber keine andere therapeutische Interventionen. Die Spuren von »ärtzlicher« Behandlung oder »chirurgischen« Eingrife sind nicht bemerkt. Obwohl das nicht gänziche pathologische Fälle sind, muss man anmerken, dass bei einem Individuum sutura frontalis aufgehoben ist, und bei drei weiteren os Incae bipartitum festgestellt ist.
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Dans cette contribution les auteurs ont présenté les résultats des recherches de sondage effectués dans la station préhistorique dans une des vallées de la région du village Otišić à Cetinska krajina. Aux environs de ce village ont été régistrées environ 100 vallées., parmi lesquelles on a fait la reconnaissance dans une dizaine, dans lesquelles on a découvert les fragments de céramique préhistorique. A l’occasion de construction de four à chaux dans la vallée I sur la position Vlake (fig. 1), on a découvert les restes de l’architecture et nombreuses trouvailles mobiles, et on a entrepris dans cette localité les recherches de sondage et de protection. On a constaté définitivement l’existence de l’agglomération sur cette localité. Il s’est montré qu’il y s’agit de résidence d’une petite communauté, probablement d’une famille, et si l’on prend en considération les trouvailles superficielles provenant des vallées voisines, on peut supposer que tout le complexe des vallées sur la position Vlake à Otišić représente une agglomération constituée de plusieurs économies familiales dans les vallées isolées. En tout cas, cette découverte représente une nouveauté, parce que les agglomérations de ce type ont été jusqu’à présent inconnues dans cette région et aussi dans les régions plus vastes. La vallée I de la position Vlake a une forme irrégulière et circulaire, avec les dimensions 15 m X 15 m, et par rapport au terrain environnant, sa profondeur moyenne est 2,5 m. La partie du nord-ouest de la vallée est détruite par les travaux de construction de four à chaux et l’autre partie est recherchée environ 38 m2 (fig. 2, 3). La plus grande épaisseur de la couche culturelle est 1,20 m2,dont la partie superficielle jusqu’à la profondeur de 0,40 m a été perturbée par le labourage (fig. 4). On n’a pas découvert les restes complexes de l’architecture. On a découvert seulement la périphérie d’une construction, dont la plus grande partie est détruite par les travaux (fig. 2). Mais, on a découvert une grande quantité de trouvailles archéologiques mobiles, qui donnent plusieurs possibilités pour la détermination culturelle et chronologique de cette station. Les formes céramiques surtout intéressantes sont les suivantes : 1. Vases aux panses shpériques, avec le fond plat ou concave et le cou cylindrique avec deux anses subcutannes (T. 1/1 ; II, III, IV/1,2, 6, 7; V /l—3, 6 , 7). 2. Vases avec les caractéristiques semblables, avec la transition douce ou plus marquée sur le col un peu tordu (T. VI/1,2, 3, 6). 3. Vases coniques avec le bord plat et plus épais vers l’intérieur. Le fond est plat ou conique (T. 1/3,4, 5; T. VII/1 —3, 5; VIII/1 ; X I/13). 4. Vases biconiques profonds avec la transition aïgue entre le conus et le col peu tordu (T. VIII/4; IX/1 —5 ; X/2,4). 5. Vases sphériques sans cou avec le bord simple ou engraissé (T. 1/2, XII/6). 5. Ecuelles (assiettes) plates avec le fond plat et épais et avec le bord bas et arrondi (T. IX/ll). Les ornements sont fréquents et très riches. Le plus souvent les parties ornées sont les parties supérieures des vases et des anses, tandis que les parties inférieures, exceptant les pieds des vases coniques, sont le plus souvent sans ornements. Ce qui prédomine, c’est la technique d’incision, les ornements faits par la roue et par l’empreinte, tandis que les ornements plastiques sont plus rares, la barbotine et la technique de fil bobiné. Les motifs les plus fréquents sont les cannelures simples ou doubles et plates, ou zig-zag (T. 11/10, 11, 13), ensuite les rangées des lignes verticales (T. I I / l— 4; VIII/3), les ornements réticulaires irréguliers (T. 11/7,9, 10; 111/1,4, 7), les gerbes des lignes zig-zag (T. 1/11), les bandes verticales et horizontales hachurées (T. 11/11,12; IV 2,7 ; V/2; VIII/2; IX/2,4), les rangées des triangles hachurés ou imprimés (T. VIII/5) etc. Parmi les autres trouvailles se distingue un pendentif de forme lunulaire (T. V/4), une hache en pierre en miniature (T. V/5) et les flèches en silex (T. IV,3,4). On trouve les mêmes analogies dans la région de Cetinska krajina et dans la région plus vaste de l’arrière-pays adriatique, ainsi que dans Ljubljansko barje. La plus grande partie des éléments caractéristiques inclue cette localité dans le cadre de la culture de Ljubljana (Ig II), c’est-à-dire de son faciès adriatique, définie par S. Dimitrijevié. Les fouilles effectuées dans cette vallée ont découvert les matériaux les plus nombreux et les plus typiques, qui rend possible pour la première fois la délimitation plus claire du faciès alpin et celui adriatique de la culture de Ljubljana. L’analyse complète de la stratigraphie et des trouvailles archéologiques mobiles a montré qu’il y s’agit d’une localité à une couche provenant de la phase finale de l’énéolithique, ce que corresponderait selon la chronologie conventionnelle à l’époque entre les années 2000 et 1900/1850 avant notre ère.
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